Au tome 2, on nous donne les motivations de certains éradicateurs. Deux d’entre eux ont eu un horrible passé. Minimi a une histoire crève cœur. Et dans toute cette horreur, alors qu’il est un tueur de masse, il prend en substance car ses motivations ne sont pas dénuées de sens, ce n’est pas par haine ou plaisir de tuer. Il n’y a pas cette malignité chez lui alors qu’elle est très présente chez Striker qui est, avec Beretta, le personnage que j’apprécie le moins et qui me paraît le plus caricatural : tuer par perversion, par plaisir d’éradiquer, d’infliger de la douleur…
De Ryuku [2749 Pts], le 22 Mars 2019 à 21h55
Au tome 2, on nous donne les motivations de certains éradicateurs. Deux d’entre eux ont eu un horrible passé. Minimi a une histoire crève cœur. Et dans toute cette horreur, alors qu’il est un tueur de masse, il prend en substance car ses motivations ne sont pas dénuées de sens, ce n’est pas par haine ou plaisir de tuer. Il n’y a pas cette malignité chez lui alors qu’elle est très présente chez Striker qui est, avec Beretta, le personnage que j’apprécie le moins et qui me paraît le plus caricatural : tuer par perversion, par plaisir d’éradiquer, d’infliger de la douleur…