Quelques éléments m'ont un peu fait sortir de la lecture par moments, en tête le côté très cliché et caricatural du chef de la secte, par ailleurs pas bien développé. En revanche les avancées restent intéressantes, surtout dans la dernière partie du tome avec les évolutions de Mira et les reoturnements de situation. Et puis, la patte visuelle d'Iwahara est toujours un plaisir.
Un bon tome, mais après les révélations du volume précédent, le rythme se ralentit un peu et on a plus l'impression d'être à un début d'axe, avec l'auteur qui pose les bases d'un nouvel environnement et de nouveaux alliés ou antagonistes pour les personnages principaux. La confrontation (tant attendue, pour ma part) avec le Syndicat et ses membres n'est pas encore pour tout de suite, même si on les voit un peu et qu'ils sont plus intriguants que jamais.
Côté antagoniste justement, celui qui apparaît dans ce tome me laisse un peu dubitative : chef d'une secte (qui sert vraiment simplement de background et est donc assez caricaturale de mon point de vue), son discours sur les coils n'est pas sans rappeler nos propres problématiques actuelles sur le climat et n'est pas entièrement dénué de vérité, en témoignent les révélations du volume précédent. Pourtant et malgré les allusions à son passé, il reste un personnage monolithique, complètement pourri. Cela dit, il ne s'agit vraisemblablement que de menu fretin en attendant que les choses se corsent, donc ce n'est pas trop grave, par ailleurs on peut opérer un certain rapprochement entre lui et Mira qui est assez intéressant.
Concernant cette dernière justement, au centre de ce tome, elle continue d'évoluer et se montre de plus en plus humaine, ce qui a des conséquences sur le duo qu'elle forme avec Kyoma dont l'équilibre se trouve modifié. J'ai beaucoup aimé les voir dans leurs nouveaux rôles respectifs !
En conclusion, un tome sympathique, qui donne très envie de lire la suite (ce qui est après tout déjà une bonne chose), malgré cette impression d'être encore dans une phase de découverte propre à un début d'axe.
De Koiwai [12681 Pts], le 15 Septembre 2018 à 20h01
Quelques éléments m'ont un peu fait sortir de la lecture par moments, en tête le côté très cliché et caricatural du chef de la secte, par ailleurs pas bien développé. En revanche les avancées restent intéressantes, surtout dans la dernière partie du tome avec les évolutions de Mira et les reoturnements de situation. Et puis, la patte visuelle d'Iwahara est toujours un plaisir.
De Mitsuko62 [3652 Pts], le 22 Juillet 2018 à 22h19
Un bon tome, mais après les révélations du volume précédent, le rythme se ralentit un peu et on a plus l'impression d'être à un début d'axe, avec l'auteur qui pose les bases d'un nouvel environnement et de nouveaux alliés ou antagonistes pour les personnages principaux. La confrontation (tant attendue, pour ma part) avec le Syndicat et ses membres n'est pas encore pour tout de suite, même si on les voit un peu et qu'ils sont plus intriguants que jamais.
Côté antagoniste justement, celui qui apparaît dans ce tome me laisse un peu dubitative : chef d'une secte (qui sert vraiment simplement de background et est donc assez caricaturale de mon point de vue), son discours sur les coils n'est pas sans rappeler nos propres problématiques actuelles sur le climat et n'est pas entièrement dénué de vérité, en témoignent les révélations du volume précédent. Pourtant et malgré les allusions à son passé, il reste un personnage monolithique, complètement pourri. Cela dit, il ne s'agit vraisemblablement que de menu fretin en attendant que les choses se corsent, donc ce n'est pas trop grave, par ailleurs on peut opérer un certain rapprochement entre lui et Mira qui est assez intéressant.
Concernant cette dernière justement, au centre de ce tome, elle continue d'évoluer et se montre de plus en plus humaine, ce qui a des conséquences sur le duo qu'elle forme avec Kyoma dont l'équilibre se trouve modifié. J'ai beaucoup aimé les voir dans leurs nouveaux rôles respectifs !
En conclusion, un tome sympathique, qui donne très envie de lire la suite (ce qui est après tout déjà une bonne chose), malgré cette impression d'être encore dans une phase de découverte propre à un début d'axe.