DSP Romeo Vol.1 - Actualité manga
DSP Romeo Vol.1 - Manga

Avis sur DSP Romeo Vol.1

DSP Romeo

Adara0811

De Adara0811 [572 Pts], le 09 Décembre 2018 à 13h30

2/20

Je n'ai pas aimé du tout ce manga (ce qui m'arrive, somme toute, assez rarement).

Ce n'est qu'une succession de clichés (avec un personnage principal toujours cambré pour bien faire ressortir ses fesses), et de scènes nues ou quasi-nues sans vraiment de justification (il y a même une case qui fait les 3/4 d'une page avec le héros torse nu avec une annotation oups! j'ai oublié de dessiné la veste!).

Ce qui tient lieu d'histoire ne sert qu'à justifier l'enchaînement des scènes de sexe. Pour qu'ils entrent en supermode il faut qu'ils boivent du sang et pour arrêter ce supermode il faut qu'ils boivent du liquide séminal. euh... ok... Pour ceux qui connaissent, j'ai eu l'impression de lire une aventure d'Anita Blake période orgie version homo et manga.

Je n'ai pas réussi à trouver les sentiments et les émotions qui me font aimer des yaois pourtant assez hard du type Sekaiichi Hatsukoi ou Love stage.

Bref, pas de tome 2 pour moi et je vais même revendre celui-ci dès que possible.

Ryuku

De Ryuku [2749 Pts], le 27 Novembre 2018 à 21h29

16/20

J'ai oublié de noter. 

Ryuku

De Ryuku [2749 Pts], le 27 Novembre 2018 à 14h25

Taïfu Comics fait (enfin) l’acquisition d’un yaoi du genre fantasy médiéval dont les personnages principaux sont des lycans (canins, félins et d’autres plus rares) pour mon plus grand plaisir !

 

J’ai englouti l’histoire et je l’ai relu…Et là, l’attente peut me fait soupirer inlassablement...Pourquoi ais-je tant aimé ? Les dessins, déjà, vous savez que je suis faible sur ça. Ensuite, l’originalité de la chose (les yaoi fantasy ne courent pas du tout les rues), l’humour de la mangaka et l’érotisme qui se dégage des pages et des personnages. Clairement, ça m’a gi-flé.

 

Quasiment tous les personnages sont par leur morphologie ou habits, érotisés.

 

Et si j’ai été très (très) sceptique (avec de violents froncements de sourcils) au début (surtout avec « l’antidote » au dopage…et d’autres trucs que je préfère taire), à la fin, j’ai vu où l’auteure voulait en venir et j’adhère totalement.

 

Les Lycans ici, sont quasiment immortels, ils sont assez bestiaux aussi et n’ont pas du tout les mêmes valeurs humaines que nous. Ce qui rendra justement les sentiments si importants, et qu’on voudra tant connaitre la suite pour voir comment l’auteure s’y prendra pour faire germer le bourgeon que Jade (pour qui j'ai complètement craqué) ne veut pas faire éclore à l’égard de Kôyô.

 

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