La série reste intéressante mais n'a décidément plus rien à voir avec le début.
A part ça, je suis très satisfait des progrès faits depuis les précédents tomes : les combats sont moins longs, plus classes et les scènes d'action plus fluides (même si je suis encore un petit peu agacé par le coup des chimères qui ne meurent jamais et celui des animaux à peine affaiblis par leurs blessures).
Je suis toujours surpris par le manque de coopération de Capri alors que cette dernière a pourtant vu sa famille se faire déchirer par la loi du plus fort dans le tome 4 et j'attends la suite avec hâte, impatient d'en apprendre plus sur giller et d'ainsi connaître les raisons de sa folie.
Toutefois, le plus gros reproche que je fais à Makoto Raiku est de faire les mêmes erreurs que Tite Kubo : rendre un personnage attachant, d'accord, mais PAS QUAND IL MEURT (T_T).
Malgré un schéma de combats et de sacrifices devenu beaucoup trop linéaire et perdant de sa puissance à force d'enchaîner les moments de sacrifice, Makoto Raiku parvient encore à nous accrocher grâce au développement qui se fait en toile de fond.
De totorsensei [2358 Pts], le 25 Juillet 2015 à 23h57
La série reste intéressante mais n'a décidément plus rien à voir avec le début.
A part ça, je suis très satisfait des progrès faits depuis les précédents tomes : les combats sont moins longs, plus classes et les scènes d'action plus fluides (même si je suis encore un petit peu agacé par le coup des chimères qui ne meurent jamais et celui des animaux à peine affaiblis par leurs blessures).
Je suis toujours surpris par le manque de coopération de Capri alors que cette dernière a pourtant vu sa famille se faire déchirer par la loi du plus fort dans le tome 4 et j'attends la suite avec hâte, impatient d'en apprendre plus sur giller et d'ainsi connaître les raisons de sa folie.
Toutefois, le plus gros reproche que je fais à Makoto Raiku est de faire les mêmes erreurs que Tite Kubo : rendre un personnage attachant, d'accord, mais PAS QUAND IL MEURT (T_T).
De Koiwai [13078 Pts], le 10 Juillet 2015 à 12h02
Malgré un schéma de combats et de sacrifices devenu beaucoup trop linéaire et perdant de sa puissance à force d'enchaîner les moments de sacrifice, Makoto Raiku parvient encore à nous accrocher grâce au développement qui se fait en toile de fond.