The Warrior Princess and the Barbaric King Vol.3

Hime Kishi wa Barbaroi no Yome

Manga - Manhwa - The Warrior Princess and the Barbaric King Vol.3
Age conseillé
Prix public
7.20 €
Deux êtres que tout oppose voués à vive ensemble dans un monde de magie et de dangers

Résumé

Après avoir sauvé l’aumônière Marsias d’un maléfice, Séra et Vehor soufflent un peu. Une vérité choquante est alors révélée : La mère de Vehor, reine des barbares, n’est autre que Wistalesia, ancienne princesse d’Illdoren et chevalière disparue lors de la seizième expédition d’Orient ! Celle que Séra considérait comme une mère et qui était pour elle un véritable modèle a-t-elle profondément changé ? À l’occasion de leurs retrouvailles, elle conseille à Séra de réfléchir à son propre bonheur...

Les points forts de la série

Savant mélange de dark fantasy et d’action, The Warrior Princess and the Barbaric King  propose de suivre la découverte du monde des barbares par une jeune noble, chevalière, qui n’a alors connu que le champ de bataille loin des bals et des amourettes de cours.
 
D’abord méfiante, la jeune femme est surprise de constater que le monde de ses ennemis est verdoyant et plein de promesses mais aussi peuplé de créatures qui semblent plus dangereuses les unes que les autres : des dragons, de toutes sortes d’espèces… dont les barbares se délectent en repas quand ils ne les combattent pas.
 
Dans ce monde hostile, elle découvre aussi une philosophie de vie et des manières différentes de ceux de son pays. Ici la pudeur n’est pas de mise et elle se retrouve dans des situations cocasses. Loin d’être en colère contre elle, les guerriers lui témoignent respect et déférence. Elle apprend d’ailleurs que le summum de la culture barbare est de prendre épouse parmi les chevalières capturées de sa patrie !
 
Après avoir digéré toutes ses surprises, Séraphina parviendra-t-elle à mieux comprendre Vehor, le chef des barbares, plutôt beau gosse sans sa barbe, qui souhaite faire d’elle son épouse depuis qu’il est tombé amoureux de son coup d’épée sur le champ de bataille ? Et si la peur de la culture de l’autre finissait par se muer en compréhension ? L’ennemi d’hier pourrait bien devenir l’allié de demain…