Made In France, 68-78, Chronique d'une Famille Chinoise à Paris - Actualité manga
Made In France, 68-78, Chronique d'une Famille Chinoise à Paris - Manga

Made In France, 68-78, Chronique d'une Famille Chinoise à Paris

Manga - Manhwa - Made In France, 68-78, Chronique d'une Famille Chinoise à Paris
Age conseillé
Prix public
15.00 €
Les yéyés peuvent-ils avoir les yeux bridés ? La réponse ici !

Résumé

Une petite fille grandit dans le Quartier latin, portée par l’élan de mai 68. Elle adore les chansons populaires et les programmes télé des années 70. Elle va à l’école, s’amuse, s’étonne, rêve, fait tout pareil que la plupart des jeunes Français de sa génération. Le seul hic, ou pas, c’est qu’elle est d’origine chinoise. " Française, c’est ce que je suis sur ma carte d’identité et ce que je suis devenue corps et âme en naissant à Paris. A l’heure où nous parlons autant de repli identitaire, 68-78 Made in France est née de l’envie de montrer avant tout ce qu’une petite fille aux origines chinoises a partagé de commun avec les Français durant la dernière décennie des Trente Glorieuses. Comment a-t-il été possible que la France pénètre en douceur, voire avec bonheur, dans ses fibres ? Cette parenthèse enchantée a façonné toute une génération et ses rêveries, quels que soient le milieu et les origines. Que la gamine récite que ses ancêtres étaient les Gaulois ou que la famille emprunte la Nationale 7 pour partir en vacances dans le Limousin, le contraste visuel chinois/ français est source d’étonnement, de cocasserie, même si le graphisme suggère subtilement que la petite fille chinoise se fond en toute innocence dans son environnement français. Les parents, eux, travaillent d’arrache-pied. Ils aimeraient que leur fille n’attrape pas trop le virus français bien qu’ils se réjouissent avec une certaine incrédulité de la liberté que leur offre la France.

Images complementaires

Les points forts de la série

La BD raconte l'enfance et l'adolescence d'une narratrice de nationalité française née à Paris de parents chinois qui ont émigré en France au début des années 60.
Le récit débute en Mai 68 en plein coeur du Quartier latin et se poursuit durant la dernière décennie des Trente Glorieuses en France. Avec le travail des parents dans la restauration chinoise en toile de fond, il évoque sur le mode humoristique la relation de la narratrice à sa double culture, à ses origines et la manière dont elle s'est forgée une identité 100% française par le biais de l'école, la variété des années 70 et les programmes de télévision.