Elle qui se laissait dévorer

Et si le harcèlement scolaire n’était pas une fatalité ?

En proie aux brimades de ses camarades de classe, Shih-Jhen est au bord du désespoir lorsqu’une nuit lui apparaît un étrange tapir au langage fleuri, dévoreur de cauchemars de son état.
Quelles sont les intentions de ce glouton ? Et qu’adviendra-t-il de notre lycéenne ?

Dans cette nouvelle basée sur la réinterprétation d’un mythe asiatique, dotée d’un graphisme affirmé et d’une narration exemplaire, 61Chi s’interroge sur la place des rêves dans le monde de l’école à Taïwan…

Après cinq longues années de silence, les discrètes, mais intéressantes éditions H ont refait parler d'elles à partir de l'été 2019, annonçant notamment la publication d'un nouveau titre venu de Taïwan. Dessinée en 2015, Elle qui se laissait dévorer nous permet d'enfin découvrir en...

Lire la Critique

Cette histoire, est la réinterprétation d’un mythe chinois, est portée par le graphisme affirmé et la narration exemplaire de 61Chi. Elle permet enfin à l’auteure de s’interroger sur la place des rêves dans le monde