Le test du jeu video:
Publié le Mardi, 01 Décembre 2009
Dragon Ball: Revenge of King Piccolo n’est pas un jeu de combat mais plutôt un beat’em all qui retrace l’enfance de Songoku en commençant par l’armée du Ruban Rouge et en finissant par le Roi Piccolo.
Franchement, ce titre aurait pu être pas mal mais la linéarité du jeu vient tout gâcher. En effet, il suffit juste de marcher tout droit et de sauter lorsqu’il y a un trou, se battre contre les ennemis qui arrivent et enfin finir par le boss. En quelques heures, l’histoire est bouclée.
Les graphismes sont soignés, les scènes cinématiques aussi, bien qu’on aurait aimé retrouver l’humour omniprésent dans Dragon Ball. On retrouve bien sûr les personnages les plus connus comme Krilin et les développeurs n’ont quand même pas oublié l’aspect « jeu de combat » qui apparait sous la forme du Championnat du Monde, qu’on peut faire seul ou entre amis. Encore une déception sur ce mode car les combats sont tout simplement injouables et très ennuyeux.
Quand on passe aux combats, on se rend compte qu’il n’y a qu’une touche pour attaquer, et le joystick pour faire des suites de coups qui sont supposés être des combos. Même les boss ne valent rien, et je suis surpris que le jeu soit interdit aux moins de 12 ans car seuls les (très jeunes) enfants pourront être satisfaits d’un tel jeu.
Les graphismes :
Graphismes propres, Toriyama dessine toujours aussi bien! Les niveaux ne sont pas moches bien qu’un peu simples. Quelques cinématiques sont présentes pour nous remémorer les moments phares de la série. Sans cette note positive, le jeu ne vaudrait pas grand chose.
La bande son :
Toujours pas de musiques originales de la série en vue. Cependant, les voix japonaises ont été conservées, et les musiques de substitution ne sont pas si mal que cela.
La durée de vie :
Courte. Environ six heures pour finir l’histoire. Ensuite on peut refaire le soft pour débloquer de nouveaux bonus, mais lorsqu’on sait que ces derniers sont des personnages pour le mode championnat et que ce mode ne vaut vraiment pas le coup, on a tout de suite moins envie de le refaire.
Le scénario :
C’est quand même rare de voir un jeu retracer l’histoire de Dragon Ball et non pas Dragon Ball Z, qui plus est aussi fidèlement. C’est donc un point positif.
La jouabilité :
Ce n’est vraiment pas terrible. On fait toujours la même chose, s’acharner sur le même bouton pendant dix minutes pour se battre contre des ennemis plus ressemblants les uns que les autres. De plus les scènes de plate-forme ne sont pas très réussies.
En résumé :
Le seul plaisir que j’ai eu à jouer à ce jeu a été de retrouver Sangoku dans son enfance. Ensuite, outre les graphismes pas trop mal et la bande son qu’on peut qualifier de « passable » le reste n’est vraiment pas terrible. Ce jeu n’est fait que pour les fans inconditionnels de la série ou les jeunes enfants.
10/20
Test réalisé par Sam.
Franchement, ce titre aurait pu être pas mal mais la linéarité du jeu vient tout gâcher. En effet, il suffit juste de marcher tout droit et de sauter lorsqu’il y a un trou, se battre contre les ennemis qui arrivent et enfin finir par le boss. En quelques heures, l’histoire est bouclée.
Les graphismes sont soignés, les scènes cinématiques aussi, bien qu’on aurait aimé retrouver l’humour omniprésent dans Dragon Ball. On retrouve bien sûr les personnages les plus connus comme Krilin et les développeurs n’ont quand même pas oublié l’aspect « jeu de combat » qui apparait sous la forme du Championnat du Monde, qu’on peut faire seul ou entre amis. Encore une déception sur ce mode car les combats sont tout simplement injouables et très ennuyeux.
Quand on passe aux combats, on se rend compte qu’il n’y a qu’une touche pour attaquer, et le joystick pour faire des suites de coups qui sont supposés être des combos. Même les boss ne valent rien, et je suis surpris que le jeu soit interdit aux moins de 12 ans car seuls les (très jeunes) enfants pourront être satisfaits d’un tel jeu.
Les graphismes :
Graphismes propres, Toriyama dessine toujours aussi bien! Les niveaux ne sont pas moches bien qu’un peu simples. Quelques cinématiques sont présentes pour nous remémorer les moments phares de la série. Sans cette note positive, le jeu ne vaudrait pas grand chose.
La bande son :
Toujours pas de musiques originales de la série en vue. Cependant, les voix japonaises ont été conservées, et les musiques de substitution ne sont pas si mal que cela.
La durée de vie :
Courte. Environ six heures pour finir l’histoire. Ensuite on peut refaire le soft pour débloquer de nouveaux bonus, mais lorsqu’on sait que ces derniers sont des personnages pour le mode championnat et que ce mode ne vaut vraiment pas le coup, on a tout de suite moins envie de le refaire.
Le scénario :
C’est quand même rare de voir un jeu retracer l’histoire de Dragon Ball et non pas Dragon Ball Z, qui plus est aussi fidèlement. C’est donc un point positif.
La jouabilité :
Ce n’est vraiment pas terrible. On fait toujours la même chose, s’acharner sur le même bouton pendant dix minutes pour se battre contre des ennemis plus ressemblants les uns que les autres. De plus les scènes de plate-forme ne sont pas très réussies.
En résumé :
Le seul plaisir que j’ai eu à jouer à ce jeu a été de retrouver Sangoku dans son enfance. Ensuite, outre les graphismes pas trop mal et la bande son qu’on peut qualifier de « passable » le reste n’est vraiment pas terrible. Ce jeu n’est fait que pour les fans inconditionnels de la série ou les jeunes enfants.
10/20
Test réalisé par Sam.
