Horus, Prince du soleil - Actualité anime
anime manga - Horus, Prince du soleil

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Synopsis

Dans un monde où la nature est devenue hostile à l’Homme, le jeune Horus vit reclus au côté de son père. Poursuivi par des loups, les sbires du sorcier Grunwald, il trouve refuge sur une colline abrupte et rocheuse se révélant être un géant de pierre. Le colosse lui vient en aide, mais une vive douleur à l’épaule, semblant être provoquée par une épine, l’accable. Serviable, Horus l’extirpe : celle-ci n’est autre que l’épée du Soleil dont il deviendra l’unique détenteur quand il lui aura redonné sa gloire d’antan en la forgeant. Malheureusement, à son retour, dans un dernier soupir, son père mourant l’enjoint à retourner dans son village natal, jadis détruit par Grunwald. Un long périple commence alors pour le jeune homme afin de retrouver les siens et mettre fin au règne du sorcier maléfique.

Trailer Horus, Prince du soleil

Les points forts de la série

Collaboration historique entre Isao Takahata (officiant en tant que réalisateur) et Hayao Miyazaki (dans le rôle de directeur artistique), « Horus, Prince du Soleil » (« Taiyou no Ouji : Horusu no Daibouken » en version originale) s’inscrit comme étant un des premiers longs-métrages d’aventure à l’origine de l’animation japonaise d’aujourd’hui. Achevé en 1968, il fait figure de précurseur en proposant un film plus mature, loin des productions destinées aux enfants que souhaitait produire Toei Animation. La rencontre entre Takahata, Miyazaki et Kotabe lors de ce premier film leur firent quitter le studio d’animation quelques années plus tard, afin de fonder un autre studio, indépendant, où ils créèrent notamment « Panda Petit Panda » en 1972.

Derniers commentaires

DemiCercle

De DemiCercle, le 26 Juillet 2015 à 19h52

8/20

J'ai payé ce dvd relativement cher (7-8€), sans pour autant n'avoir ne serai-ce que lu le synopsis. Simplement car c'était un Takahata ...

Et bien on ne m'y reprendra plus, j'avais déjà émis quelques réserves au sujet de panda petit panda, qui était plus que passable ... Mais là c'est un tout autre niveau.
J'avais lu dans quelques articles que ce film était à l'époque une très grosse prise de risque, prise de risque non-récompensée qui n'avait pas rencontré de vif succès.

Et ça se comprend ! Car même si en effet, le scénario est un peu plus sérieux que ce qui se faisait à l'époque, et si en effet quelques personnages sont ambigus ... ça ne vole pas bien haut !

Non seulement les personnages semblent tous attardés, en réagissant au quart de tour peu importe la péripétie et le bon sens. Mais en plus ils agissent sans aucune cohérence durant tout le film.
Sans parler du scénario qui avance extrêmement vite, sans aucun explication plausible, sans aucune information ... Et même les rebondissements sont prévisibles et ridicules ... C'est un scénario très simpliste, avec des méchant souhaitant la méchanceté et des gentils souhaitant la gentillesse !

Alors oui, je veux bien entendre qu'en 68 ce n'était pas évident de proposer de tels scénarios ... Et qu'effectivement, pour un film de 68 c'est vraiment beau et fluide ... Mais aujourd'hui, ce film n'a aucun intérêt ! Il est prévisible, simpliste, enfantin et surtout très mal écrit !
Si vous voulez rire un bon coup, ce film se rapproche plus aujourd'hui du nanar que du classique !

C'est pourquoi je lui met cette note, que j'estime assez élevée, simplement pour sa valeur historique et comique ... Et pour son animation franchement bonne.


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