C'est avec émotion que nous avons reçu aujourd'hui un original de Gôseki Kojima, célèbre dessinateur de la saga Lone wolf & cub. On remercie Shinob en passant qui nous a gentiment fait découvrir la vente de plusieurs œuvres de l'auteur sur mandarake.
Comme nous sommes du signe du buffle c'est avec empressement que nous nous sommes offert ce shikishi grand format., qui vient tout juste de nous être livré. (C'était rapide)

Voici donc l'objet qui va bientôt orner les murs de la rédaction...

Ca fait un bout de temps que les résines de Tsume me font de l'oeil, et j'attendais donc avec impatience qu'il y ait enfin un personnage qui m'intéresse dans leur gamme HQS (leurs résines de Saint Seiya, Bleach et Naruto ont beau être magnifiques, je n'aime aucune de ces séries). C'est chose faite avec la résine Maka's Faith, sur laquelle j'ai craqué le porte-monnaie !

Me voici donc sortant de chez mon libraire avec dans les mains un carton de 5kg quasiment plus grand que moi, me dirigeant vers le métro... à une heure de rush. Ca, c'est fait !




Rentré chez moi, l'heure du déballage arrive. Et d'emblée, je comprends que Tsume ne se moque pas du monde et justifie bien son statut de fabricant de figurines de luxe : à l'intérieur du carton se trouve, bien protégé par des plaques de polystyrène, un autre carton à l'effigie de Soul Eater. Un carton, très solide, luxueux, joliment imprimé.




A l'intérieur... de nouvelles protections ! Maka est soigneusement protégée par un coffret en polystyrène, enroulé autour d'un joli ruban aux couleurs de Tsume.




Le ruban retiré, je me le noue autour de la tête, histoire d'être bien prêt à déballer la bête ! Le montage peut commencer !




Le tout pèse son poids, on sent qu'on n'a pas affaire à une petite figurine de pacotille. Le montage bouclé après quelques secondes, le résultat final est alléchant : Tsume a fait du très bon boulot. Vu le design très particulier des dessins d'Atsushi Ohkubo et le physique relativement "banal" de Maka, en faire quelque chose d'envergure n'était pas forcément gagné. Et effectivement, si la petite Maka reste classique, la pose choisie en jette, et le décor est là pour offrir plus d'ampleur. Si je devais tout de même faire un petit reproche, il concernerait le visage de Maka, très expressif, facilement reconnaissable, mais qui cloche un peu, surtout au niveau de la bouche. Mais je le redis : vu le design de base du personnage, c'est du très bon boulot. Le socle (logiquement la partie la plus lourde) est imposant et costaud, de même que le décor de chapelle, qui m'a bluffé de par les petits jeux de lumière qu'on peut faire à travers les vitraux (malheureusement, je suis trop mauvais en photo pour montrer ça, et la luminosité de mon petit studio n'est pas idéale ^^"). Quant à Maka elle-même, sa pose très vivante est mise en exergue par Soul Eater sous sa forme d'arme démoniaque, une grande faux courbée du plus bel effet.




Bref, bravo Tsume, je ne regrette pas mon achat. De la faux à la chapelle en passant par le socle, tout est bien pensé pour rendre cette résine de la petite Maka imposante et classe ! Sur ce, voici une petite galerie de photos. N'hésitez pas à donner votre avis (pas la peine de signaler mes non-talents de photographe, je suis déjà au courant :p)





Prochaine étape pour moi chez Tsume, sans doute la résine d'Eyeshield 21 !!

Koiwai

Si vous ne connaissiez pas encore cet ouvrage, il faudrait rapidement réparer cette erreur! En effet cette anthologie est génialissime. Elle est a l'origine de bien des fous rires ici à la rédaction et auprès de nos amis et de la famille. Un cadeau que nous faisons régulièrement (on doit en être à pas moins de 15 exemplaires du premier tome ^^) et vous comprendrez pourquoi ...

Quand les japonais parlent français comme des vaches espagnoles....



Qu'est ce que le franponais ?

Le franponais (mot-valise composé de français et japonais, par analogie au mot franglais), désigne l'utilisation « malencontreuse » de mots français par les Japonais. On rencontre aussi les variantes framponais, flançais ou flanponais, soulignant la confusion du l et du r que plusieurs langues asiatiques, dont le japonais, connaissent.

Au Japon, il est de bon goût d'utiliser des mots français dans des domaines relatifs à l'image de la France, comme la mode, la cuisine, la coiffure ou la pâtisserie. Le français apparaît surtout à l'écrit sur les enseignes des magasins, les T-shirts, les menus, etc. Comme très peu de Japonais parlent parfaitement français, les erreurs et non-sens sont nombreux, et ces phrases et expressions curieuses finissent par devenir, dans l'esprit de leurs amateurs, presque une langue à part entière, le franponais. Elle utilise des mots français mais avec de fréquentes fautes d'orthographe et erreurs de sens.

Dans de nombreux cas, les phrases en franponais semblent avoir été traduites mot à mot depuis d'autres langues. On peut y voir une négligence de la part des fabricants, mais il faut savoir que les phrases en français ont avant tout un but décoratif et que le public ciblé n'est pas francophone.

Même si le franponais peut choquer le touriste francophone au premier abord, il devient rapidement amusant de repérer les « perles » franponaises. Au final, il apporte un charme supplémentaire à une visite du Japon.

Le deuxième tome sort la semaine prochaine aux éditions Komikku avec une réédition du premier...

Extraits





Merci Florent pour ces recueils de photos hilarants et si bien commentés...

Un petit billet aujourd'hui pour vous parler du "coeur de Thomas" le premier titre à paraitre de Moto Hagio . Un auteur emblématique du shojo manga qu'il était temps de découvrir en France. J'ai eu le plaisir de lire en avance ce one-shot qui sans surprise m'a séduit des les premières pages. Il faut dire que je suis amoureuse des artistes de cette époque. Donc si comme moi vous aimez Ryoko Ikeda et si vous avez aimé "Trés chère Frère" vous ne serez pas dépayser, voire même enchanté... On y retrouve d'ailleurs des éléments communs.

Si j'ai pris la peine d'en faire un coup de coeur au travers du blog c'est surtout à la vue de la jaquette, qui m'a fortement déçue (désolé mais c'est la vérité, ca ne donne pas envie du tout) ce qui est bien dommage. Connaissant la difficulté que peut avoir un éditeur avec les ayants droit sur l’adaptation d'un titre pour le marché français, je ne critiquerai pas ce choix. Reste que ce titre et son auteur mérite d'être connu du grand public et que je devais vous en toucher quelques mots ce qui est chose faite.

En résumé, une artiste à découvrir absolument si vous n’êtes pas allergique au coté "old school" du dessin (moi j'adore mais comme je l'ai dis plus haut je ne suis peut-être pas objective, sachez toutefois que ce style a fait école depuis...). Rendez-vous le 5 décembre pour sa sortie...



Synopsis
Lorsque le corps du jeune Thomas Werner est retrouvé mort un matin d’hiver, la seule chose qu’il laisse derrière lui est une lettre adressée à son camarade Juli, et dans laquelle il lui confesse son amour. Bouleversé par cette révélation, le studieux Juli sombre dans des abîmes de confusion, et c’est à son ami Oscar qu’incombe le devoir de veiller sur lui, malgré les sentiments coupables qu’il éprouve lui aussi pour son triste patient.
Cet équilibre fragile va être violemment secoué lorsqu’arrive à l’école un nouvel élève, Eric, dont la ressemblance à Thomas est troublante...

Pour beaucoup, c'est l'un des principaux événements cinématographiques de l'année : le retour de James Bond au cinéma avec Skyfall, quatre ans après le pitoyable Quantum of Solace. Autant dire qu'on attend la saga au tournant, ce qui semble être le cas d'après les premiers avis de la presse et de la plupart des spectateurs. De mon côté, ayant vu le film samedi, je vous propose mon ressenti, mes joies et mes déceptions liées à ce qui est de loin le meilleur Bond de l'ère Daniel Craig, et sans doute l'un des volets les plus ambitieux de la saga, histoire de bien marquer les 50 ans de Bond au cinéma.

Hop, synopsis Allociné : Lorsque la dernière mission de Bond tourne mal, plusieurs agents infiltrés se retrouvent exposés dans le monde entier. Le MI6 est attaqué, et M est obligée de relocaliser l’Agence. Ces événements ébranlent son autorité, et elle est remise en cause par Mallory, le nouveau président de l’ISC, le comité chargé du renseignement et de la sécurité. Le MI6 est à présent sous le coup d’une double menace, intérieure et extérieure. Il ne reste à M qu’un seul allié de confiance vers qui se tourner : Bond. Plus que jamais, 007 va devoir agir dans l’ombre. Avec l’aide d’Eve, un agent de terrain, il se lance sur la piste du mystérieux Silva, dont il doit identifier coûte que coûte l’objectif secret et mortel...

Si vous avez vu le film, n'hésitez pas à réagir, à venir donner votre avis, ça m'intéresse :-) A part ça, mon avis contient des spoils, que je signale par des balises pour ceux qui n'ont pas vu le film ! Toutefois, j'ai pris soin de ne pas parler des plus grosses surprises du film... et il y en a quelques-unes !




Le réalisateur Sam Mendes ne m'a jamais déçu. Tous ses films m'ont mis une claque, quel que soit leur genre, d'American Beauty à Jarhead en passant par les Noces rebelles ou Away we go. Alors quand j'ai appris récemment qu'il se chargeait de Skyfall, ça a totalement éveillé ma curiosité. Qu'allait-il donnait sur la saga James Bond ? Sur un tel blockbuster ? On connaît le réalisateur pour sa capacité à s'immiscer finement dans la psychologie de ses personnages et leurs évolutions, chose qu'on n'a pas l'habitude de voir dans du James Bond. Du coup, allait-il trahir son style et tomber dans la facilité du blockbuster made in Bond ? Absolument pas, bien au contraire ! Mendes s'est réapproprié le mythe en apportant réellement sa patte et en nous offrant le plus intime des James Bond. Mais tout n'est pas parfait, loin de là.

Dans Skyfall, tout passe par un triangle : Bond-M-Silva, dont on saisit globalement la relation, même si je ne peux m'empêcher de trouver le personnage de Silva sous-exploité et mal mis en avant : finalement, les explications sur sa façon de penser et sur son ressentiment envers M restent très basiques, le personnage étant plus mis en avant dans sa façon d'être : le gars est un peu beaucoup dérangé, pour faire ressortir ça on peut compter sur le cabotinage efficace d'un Javier Bardem (blond platine !) un peu à contre-emploi et qui prouve qu'il peut fort bien varier les genres, mais le cabotinage devient tellement présent et le développement du personnage tellement peu consistant que Silva est vite devenu plus ridicule qu'autre chose à mes yeux. Pour moi, c'est le mot : ridicule. Le méchant est inconsistant et m'a même parfois fait sourire tant je finissais par le trouver minable. Mais il est sauvé par la prestation de Bardem.

Restent donc Bond et M. Et là, c'est du tout bon. Mendes a su faire ressortir le lien tout à fait particulier entre ces deux personnages, qui se prennent souvent le bec, s'opposent, mais se vouent une relation de confiance poussée dans ses derniers retranchements, et parfaitement mise en exergue par un Silva qui est un peu l'opposé du loyal Bond (le méchant réussit au moins ça).

Pour bien mettre en valeur tout ça, Sam Mendes a su tirer le meilleur parti de son trio d'acteurs. J'ai déjà évoqué Bardem, bon dans son cabotinage. Ensuite, on sait à quel point il peut être difficile de tirer le meilleur de Daniel Craig :p  mais là le gars fait bien son boulot, et colle bien au Bond voulu par Mendes.
Mais c'est définitivement l'actrice la moins connue du trio qui tire tous les honneurs : Judi Dench a toujours été excellente dans son rôle de M, mais là, elle est éblouissante, elle a su faire ressortir toute la finesse du personnage, implacable, intransigeante quand il le faut, au visage toujours sévère et dotée de répliques cinglantes absolument délicieuses, mais qui cache toujours dans son regard une fragilité qui finit pas totalement se découvrir dans une fin vraiment excellente.

D'ailleurs, pour marquer les 50 ans de Bond au cinéma, je pense qu'on ne pouvait pas trouver meilleure fin, meilleure pirouette. Tout s'emboîte bien et une boucle est bouclée, chapeau au réalisateur.

En ce qui concerne la réalisation elle-même, c'est bon. Je regrette des longueurs, surtout dans la première moitié du film, mais ça laisse le temps d'apprécier le talent de Sam Mendes pour sublimer les images. Notamment, les vues de Shanghai, de ses lumières, de sa modernité, sont superbes. Côté scènes d'action, j'ai eu le sentiment qu'il y en avait encore moins que dans Casino Royale, qu'elles n'avaient rien de bien exceptionnel, mais étaient toutefois efficaces. Par exemple, la course-poursuite de début est plaisante bien que très banale finalement, mais au bout d'un moment elle a fini par me gonfler. Je garde un meilleur souvenir de la scène sur les échafaudages de Casino Royale. Par la suite, c'est toujours très classique, mais Mendes sait y mettre la tension, sait filmer ça avec brio pour nous immerger, jusqu'à cette dernière ligne droite [SPOIL] en Ecosse, bien fichue, qui laisse entrevoir un Bond plus intime puisqu'on découvre un peu de son passé, bien que ça reste assez inconsistant car ça arrive un peu comme un cheveu sur la soupe [FIN DE SPOIL]. L'ambiance est là jusqu'au final, même si je pense que je me serais plus pris au jeu si certains moments n'étaient pas aussi ridicules [SPOIL] (la surenchère d'explosions, ou la baston dans le lac gelé avec un Bond qui s'en sort sans qu'on sache trop comment... alors qu'il est dans un lac gelé, quand même, il a une sacrée condition... Bon, on le voit tirer sur la glace, mais après ?) [FIN DE SPOIL] et si le personnage de Silva avait été mieux exploité, parce que là, j'ai trouvé [SPOIL] sa mort dans la chapelle [FIN DE SPOIL] risible.
A part ça, on sent que Sam Mendes a bien étudié sa copie, et il nous offre de nombreux clins d'oeil et hommages assez délicieux à ce que fut Bond au cinéma. Certaines scènes, comme la scène de début sur le train ou le duel au pistolet, rappellent d'anciens James Bond, mais la mention spéciale revient au passage où [SPOIL] Bond récupère dans le garage la vieille voiture, avec l'ancienne musique originale de James Bond qui arrive en fond... Jouissif ! Vers la fin, j'ai également adoré le petit regain de vengeance de Bond quand il voit Silva exploser cette chère voiture ^^ [FIN DE SPOIL]

Enfin, côté histoire, si Mendes a parfaitement su exploiter le personnage de M, qui n'a jamais été aussi bien mis en valeur, et sa relation avec Bond, je regrette de nombreuses petites facilités propres aux blockbusters, facilités que j'aurais facilement acceptées dans des films plus décérébrés et orientés action type les Bond ancienne génération, Die Hard, etc... mais que j'ai du mal à concéder dans un film qui se prétend mieux construit et plus approfondi, dans un film issu d'un vrai génie du cinéma. L'histoire est donc parsemée de ces petites facilités, de ces petites ellipses flemmardes propres aux blockbusters.
Mais ce n'est pas le plus grave, car il y a l'incohérence totale de Silva.
[SPOIL]Mais attendez, le gars est un cerveau brillant qui peaufine son plan pendant des années, a tout calculé, a hacké le MI6, a deviné où celui-ci allait migrer (gné ? Il est devin ??), a tellement bien peaufiné son truc qu'il a réussi à mettre dans sa poche plein de mercenaires, de faux-flics et a pu placer pépère ses explosifs dans les souterrains (tout ça sans qu'on sache trop comment, quand je parle d'ellipses flemmardes...), a même su prévoir qu'un métro vide allait venir se casser la gueule sur Bond après l'explosion souterraine... Bref, le gars a tout prévu, même ce qui est imprévisible, tel un dieu, et une fois dans le tribunal, une fois devant M, il prend son temps alors qu'il se sait poursuivi, et pire, il... il rate son tir et après il se casse ?? Mais... mais OMG ! Mais quel gros bouffon !! Tout ça pour ça ??
Et le gars, un coup il veut juste buter M dans le tribunal par vengeance, et à la fin il veut se tuer avec elle en la nommant subitement maman alors qu'il n'en était pas beaucoup question longtemps avant... C'est... illogique...[FIN DE SPOIL]

Bref, en fait, pour faire un comparatif avec un autre film récent, je ne peux m'empêcher de faire un rapprochement entre ce Bond et le dernier Batman de Nolan : on a deux réalisateurs de génie, deux metteurs en scène parfaits, deux vraies personnalités du cinéma, qui savent saisir la beauté des images, savent créer des ambiances, savent tirer le meilleur de leurs acteurs, ont la volonté d'offrir un véritable fond sur les personnages et réussissent à en sublimer certains comme ils ne l'avaient jamais été (je le redis : M, bon dieu, n'a jamais été aussi merveilleuse...), mais cèdent totalement aux petites facilités et incohérences propres aux blockbusters.

A part ça, on a fait tout un foin sur la frenchy Bérénice Marlohe en James Bond Girl, mais elle a en fait un rôle moisi. Par contre, Naomie Harris fut pour moi un gros coup de coeur, elle n'a jamais été aussi sublime. Elle est à tomber lors du passage au casino tant elle est séduisante, et ses petites réparties avec Bond sont plutôt savoureuses. Reste que la vraie James Bond Girl de Skyfall, c'est M :p


Koiwai

Qu'est ce que la génération Albator ? (dont le fais partie ^^ et je le revendique bien fort ), qu'est ce qui nous a fait aimer les dessins animées  japonais ? Voici quelques éléments de réponses avec notre confrère Hervé Beilvaire interviewé par "On est pas des moutons" à l'occasion du dernier Brest Japan Festival...

Reçu ce week-end, le one-shot l'Etrange Noêl de Mr Jack, l’adaptation en manga du film de Tim Burton. A noter que l'ouvrage était accompagné d'un biscuit de Mr Jack de chez-bogato...



Yummiii ...

Merci Pika.

La boss

Nous vous en avions parlé au travers de ce précédent billet. Voici la bande annonce du jeu Fetchitt insipré de la BD de notre ami Stivo : Dugly publié aux éditions BAO... Notre plus jeune membre y a participé et y a pris un grand plaisir (deviné lequel des 4 s'est ? ...un indice ce n'est pas le plus poilu ....). Et pour ceux que le jeu tentent il est dispo depuis le 15 octobre uniquement à la grande Récrée...

L'édition de septembre de Paris Manga offrait la possibilité de rencontrer deux très sympathiques auteurs du catalogue des éditions Booken : Kim Young Kyung (Ping, Yureka) et Hong Dong-Kee (Monk!, Geonbae).

Les artistes n'ont pas chômé : séances de dédicaces, interviews... et deux séances de dessin public ! Ils nous ont offert des performances très appréciables pour un résultat très joli. Jugez vous-mêmes !


Dessins publics du samedi :




Dessins publics du dimanche :



Par ailleurs, restez connectés, pour ne pas passer à côté des interviews de ceux deux auteurs, que nous vous proposerons de découvrir dans les semaines à venir !


Koiwai

Bien que je sois réaliste impossible de collectionner tout ce qui sort sur cette fabuleuse saga qu'est Versaille no Bara. Je continue tout de même ma petite collection personnelle. Ainsi voici mes deniers achats en provenance directe du Japon (recu il y a plusieurs mois j'avais pas eu le temps de faire une photo ;)).

Sur la table : Le fabuleux cd original avec les musiques et génériques de la série mais surtout les déclarations d'amours des 4 personnages principaux en vo. Les deux dernières figurines sorties (elles sont superbes), pas moins de 5 ouvrages et/ou artbook (voir ici) et le must le tamagochi petit jeu électronique de poche pour les plus jeune qui ne connaissent pas ces petits gadgets sortis a la fin des années 90...

Bon maintenant le plus dur c'est de trouver une place pour ranger tout ca ....



La boss

Chose promise, chose due ! Voici une photo du model kit de Cartox assemblé !

Samedi dernier, j'ai quitté mon Nord natal en compagnie de ma femme pour une petite expédition d'une journée à Paris !


Au programme:

- Aller à la librairie Junku pour acheter quelques livres sur le Japon.
- Aller à la librairie Komikku pour acheter des Bentô.
- Déjeuner au restaurant Sapporo (une habitude pour moi quand je me balade dans le quartier Pyramides).
- Aller à la galerie Arludik pour récupérer une peinture numérique des Enfants Loups.


On commence donc par la librairie Junku, que je conseille à tous les lecteurs de mangas / mangas vo et aux amateurs de culture nippone. La librairie est sur deux niveaux. Le rez-de-chaussée est consacré aux romans, aux essais divers, à la littérature, à l'histoire du Japon etc... Il y a des livres en japonais, en anglais et en français. Au sous-sol, on retrouve un large rayon de mangas en vo et vf. Les prix des mangas nippons sont assez élevés.

J'ai acheté trois livres: Un guide de conversation du Routard qui me servira lors de mon prochain séjour au Japon dans quelques mois. Un essai de Jean-Luc Azra intitulé Les japonais sont-ils différents, et un petit guide sur les coutumes nippones, Japan Attitude. Pour l'instant, je n'ai commencé à lire que ce dernier. Je trouve que les textes abordent de façon un peu superficielle les différents sujets... néanmoins, le faible coût du livre (7.90€) et sa facilité d'accès font que je le conseillerai aux jeunes lecteurs ou à ceux qui effectuent une première approche vers la culture nippone.
 
   
  

Direction ensuite Komikku pour acheter un kit de démarrage bentô pour cuisiner de jolis plats ! La gérante nous a bien conseillé, et au final, on a acheté beaucoup de choses... Le porte-monnaie a vaillamment protesté mais nous avons fait la sourde oreille...
Nous nous sommes procurés un grand bentô de pique-nique à deux étages, un plus petit bentô à deux étages et qui passe au micro-ondes, le livre Mes petits bentô de Laure Kié ainsi que divers ustensiles...

 
Le lendemain, après une bonne nuit de sommeil, nous avons "inauguré" notre matériel ! N'ayant pas d’ingrédients japonais à la maison, on a cuisiné avec des produits facilement trouvables tout en nous imposant un thème: les Hoshi (étoiles).

En entrée
Carottes râpées, étoiles de pain complet sur leur lit de verdure (tomates confites, salade, carottes).

En plat principal
Onigiri en forme d'étoile aux deux saveurs: nature et sauce tomate (d'où cette petite couleur rouge), poulet pané maison et ratatouille de courgettes et tomates.

 
 
Miam Miam ! *___*



Pour conclure, revenons un jour en arrière pour évoquer la dernière étape de ma journée parisienne avec ma visite à la galerie Arludik pour récupérer une toile des Enfants Loups - Ame & Yuki. J'ai été bouleversé par ce métrage, que je considère comme l'un des meilleurs films d'animation nippons. Du coup, j'ai eu une folle envie de me procurer un produit en rapport avec Les Enfants loups ( mode fan attitude ON ^^"""").

Je me suis alors souvenu du billet de Koiwai portant sur une exposition consacrée au film... C'est ainsi que je me suis acheté une peinture numérique unique signée à la main par Mamoru Hosoda. Il y avait quelques toiles un peu plus jolies, mais malheureusement elles ont toutes été vendues très rapidement. Au final, je suis malgré tout très content de mon achat, d'autant plus que c'était la dernière toile où l'on pouvait voir les trois protagonistes du film réunis et de face.

La toile trône désormais dans ma mangathèque, et je ne me lasse pas de la regarder. En plus des visages très expressifs de Haru, Ame & Yuki, je trouve que les stalactites donnent beaucoup de charme à l'ambiance. Et vous, qu'en pensez-vous ?
 
 
 
shinob.

Un petit avant gout du tout premier manga qui sera publié par Komikku éditions. Vous pourrez retrouver dés ce jeudi en librairie un livret de prépublication de l'Ile infernale, avant sa sortie officielle le 11 octobre prochain.



De notre coté nous avons déjà eu le plaisir de découvrir le titre. On vous laisse languir encore un peu...



Synopsis
La peine de mort n’existe plus au Japon. La peine ultime qui la remplace est l’exil sur une île coupée de tout. C’est là qu’arrive Ei Mikoshiba après s’être fait intentionnellement condamné. Son but : retrouver l’assassin de sa famille, son ancien ami, Sasaki. L’île-pénitencier se révèle un véritable enfer sur terre, une jungle sans pitié où les prisonniers, livrés à eux- mêmes, ont constitué une société d’une violence inouïe dans laquelle seuls les forts peuvent survivre. Ei semble taillé pour cet environnement hostile, mais réussira-t-il à accomplir sa vengeance ?

Vous avez été nombreux à suivre ses aventures trépidantes sur ce blog. A présent, découvrez sa genèse. Cartox est de retour, dans une nouvelle oeuvre dévoilant ses origines : Cartox - Episode Zero.



Du robot en kit à la vedette que l'on connaît, la route fut longue et périlleuse...




Sortie aujourd'hui-même sur le blog Manga-news. Avec, dans le rôle de Cartox, le model kit de Kotobukiya. Et dans quelques jours, découvrez l'épilogue de cette genèse !


Koiwai

A la rédaction on est fan de la BD Dugly de Stivo (éditions Bao) qui nous raconte les tribulations d'une espiègle mais odorante bouledogue français et de ses heureux maitres.



Aussi quand on nous a demandé de participer a la bande annonce de sortie du jeu de société Fetchitt !, on était partant et c'est le plus jeune membre de l'équipe qui s'est prêté au jeu!!!




Voici une photo du tournage (avec Stivo l'auteur, Dugly her self, Jean Paul Moulin, l'éditeur et notre plus jeune membre : Mathieu) ... Le jeu sera disponible le 15 octobre dans les magasins la grande récré avis aux amateurs !!!




La BD :
Elle voulait un chien, lui non, forcément elle a gagné ! Un petit bouledogue français bruyant et odorant débarque dans la vie de ce couple et leur réserve bien des surprises....

 

Quant à la bande annonce elle fera l'objet d'un prochain billet...