Jeux Video Test du jeu Pilotwings Resort
Sorti en 1992 sur Super Nintendo, Pilotwings était une belle vitrine des capacités techniques de la console 16 bits, mode 7 en tête. Plus tard, la saga s'est permis un revival sur Nintendo 64, avant de disparaître dans les oubliettes de l'odyssée ludo-numérique. Original à plus d'un titre, Pilotwings s'offre un sursaut sur la 3DS, pour une expérience unique, mais qui divisera forcément les joueurs. En revanche, si vous accrochez au concept, c'est du fun assuré !
Tout comme aux débuts des années 90, Pilotwings Resort (puisque c'est son nom) représente une vitrine technologique assez intéressante des possibilités de la 3DS, notamment en matière de 3D relief. C'est bien simple, il s'agit de l'une des cartouches les plus impressionnantes du line-up. Prenant pour cadre géographique l'île Wuhu, déjà aperçue dans Wii Sports Resort, le jeu de Nintendo affiche une profondeur de champ juste stupéfiante. Même avec la molette mise au minimum, l'effet de profondeur est si immersif qu'on a qu'une envie : vite s'essayer aux différentes épreuves contenues dans le programme !
Après avoir déposé votre inscription au sein de l'aéroclub, vous êtes amenés à effectuer un premier tour de l'île, histoire de vous familiariser avec les commandes. Pilotwings Resort vous invite à participer à des épreuves (une quarantaine) mettant en scène un avion, une sorte de jet pack (la fameuse traduction ceinture-fusée… plus kitsch, tu meurs) ou encore le deltaplane. Il y a même quelques surprises à la fin du jeu. Les missions deviennent de plus en plus complexes, et il faut souvent faire preuve de dextérité et de précision, notamment lors de l'amerrissage ou de l'atterrissage. Tirer sur des cibles, faire des photos, passer à travers des cercles… les objectifs sont variés bien que peu originaux, mais c'est surtout l'impression de liberté qui donne tout son sens au jeu de Nintendo.
Car il faut l'avouer, 40 épreuves, ce n'est vraiment pas la bérézina. La durée de vie en pâtit fortement et même s'il est possible d'améliorer son score, la lassitude peut vite l'emporter. Heureusement, la firme de Kyoto a ajouté un mode de jeu "Vol Libre" carrément planant. Au départ, vous choisissez l'aéronef de votre choix et vous avez deux minutes pour débusquer un maximum de "?" matérialisant les différents lieux de l'île. Vous devez également éclater des ballons dispatchés ça et là. Ce qui est génial, c'est qu'il faut pas mal de temps avant de trouver tous les secrets de l'île, permettant de débloquer plus de temps de vol, mais aussi différents moments de la journée, comme le crépuscule ou la nuit. Et il n'y a rien de tel que de voler sous une belle lune en admirant un feu d'artifice tiré de l'îlot voisin. L'immersion est totale et on ne peut plus se passer de la 3D relief.
Pour sa faculté à émerveiller et à planer, Pilotwings Resort était probablement l'un des titres immanquables du lancement de la 3DS. On pourra passer du temps en vol à essayer de débusquer les derniers secrets et le plaisir reste intact. Au final, il ne pêche que par sa durée de vie, trop limitée car basée sur deux modes de jeu, mais les sensations qu'il procure sont assez uniques.
Tout comme aux débuts des années 90, Pilotwings Resort (puisque c'est son nom) représente une vitrine technologique assez intéressante des possibilités de la 3DS, notamment en matière de 3D relief. C'est bien simple, il s'agit de l'une des cartouches les plus impressionnantes du line-up. Prenant pour cadre géographique l'île Wuhu, déjà aperçue dans Wii Sports Resort, le jeu de Nintendo affiche une profondeur de champ juste stupéfiante. Même avec la molette mise au minimum, l'effet de profondeur est si immersif qu'on a qu'une envie : vite s'essayer aux différentes épreuves contenues dans le programme !
Après avoir déposé votre inscription au sein de l'aéroclub, vous êtes amenés à effectuer un premier tour de l'île, histoire de vous familiariser avec les commandes. Pilotwings Resort vous invite à participer à des épreuves (une quarantaine) mettant en scène un avion, une sorte de jet pack (la fameuse traduction ceinture-fusée… plus kitsch, tu meurs) ou encore le deltaplane. Il y a même quelques surprises à la fin du jeu. Les missions deviennent de plus en plus complexes, et il faut souvent faire preuve de dextérité et de précision, notamment lors de l'amerrissage ou de l'atterrissage. Tirer sur des cibles, faire des photos, passer à travers des cercles… les objectifs sont variés bien que peu originaux, mais c'est surtout l'impression de liberté qui donne tout son sens au jeu de Nintendo.
Car il faut l'avouer, 40 épreuves, ce n'est vraiment pas la bérézina. La durée de vie en pâtit fortement et même s'il est possible d'améliorer son score, la lassitude peut vite l'emporter. Heureusement, la firme de Kyoto a ajouté un mode de jeu "Vol Libre" carrément planant. Au départ, vous choisissez l'aéronef de votre choix et vous avez deux minutes pour débusquer un maximum de "?" matérialisant les différents lieux de l'île. Vous devez également éclater des ballons dispatchés ça et là. Ce qui est génial, c'est qu'il faut pas mal de temps avant de trouver tous les secrets de l'île, permettant de débloquer plus de temps de vol, mais aussi différents moments de la journée, comme le crépuscule ou la nuit. Et il n'y a rien de tel que de voler sous une belle lune en admirant un feu d'artifice tiré de l'îlot voisin. L'immersion est totale et on ne peut plus se passer de la 3D relief.
Pour sa faculté à émerveiller et à planer, Pilotwings Resort était probablement l'un des titres immanquables du lancement de la 3DS. On pourra passer du temps en vol à essayer de débusquer les derniers secrets et le plaisir reste intact. Au final, il ne pêche que par sa durée de vie, trop limitée car basée sur deux modes de jeu, mais les sensations qu'il procure sont assez uniques.