Dvd Chronique - Nana Coffret 3
Voici la chronique de Takato portant sur le 3ème coffret collector DVD de la série animée Nana, sorti chez Kazé en novembre 2007.
Après que Nana et Ren aient renoués, les liens entre Blast et Trapnest se sont détendus. Mais pour Hachi, ce qui compte est bien son rapprochement avec Takumi, son idole, sans se douter que quelqu’un d’autre s’est épris d’elle en secret. Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais Hachi ne se doute pas qu’elle se lance dans un méli-mélo relationnel…
Ce troisième coffret nous propose une nouvelle fois neuf nouveaux épisodes, ainsi qu’un épisode résumé totalement inutile. La série a entamé son développement d’un point de vue musical où désormais, ce sont bien les relations entre les deux groupes que sont Blast et Trapnest qui priment. De manière logique, nous faisons à chaque fois un peu plus connaissance avec chaque membre des deux groupes. Des amitiés se forment, voir des idylles, c’est une véritable avalanche de liens relationnels qui se dessinent sous nos yeux. D’une certaine manière, nous apprécions une ambiance plus conviviale que dans les premiers épisodes : Il ne s’agit plus de suivre différents groupes d’ami mais bien la réunion d’amis et musiciens, certains étant liés depuis de nombreuses années déjà. Ainsi, l’intrigue n’est pas avare en surprise de ce côté-là, chacun nous livre ses petits secrets permettant de renforcer la personnalité de chacun. D’une manière générale, on ne cesse de s’attacher aux différents membres des deux groupes tant chacun est doté d’un caractère qui lui est propre et occupe une place plus importante qu’au début de la série.
Nana, c’est avant tout une histoire d’amour, et c’est dans la continuité des épisodes précédents qu’on poursuit le développement amoureux du personnage de Hachi. Après avoir été trompée par Shoji, la jeune femme s’attache à un nouvel individu et pas des moindres puisqu’il s’agit de son idole musicale. En parallèle, un autre personnage s’est épris de la demoiselle… L’opposition entre les deux prétendants est telle que cela amène à un foutoir sentimentale qui vient apporter un grand intérêt à l’intrigue. On remarque par la même occasion le développement du personnage de Hachi, bien moins naïve qu’au début de la série et par conséquent bien plus attachant. En parallèle à ça, d’autres amourettes se créent, et Nana poursuit son idylle de rêve avec Ren. L’amour occupe donc une place cruciale dans ces nouveaux épisodes qui n’oublient cependant pas de s’intéresser à l’amitié entre les deux Nana. D’une manière générale, on observe la chaleureuse relation qui s’est formé entre les deux demoiselles, et on en retient que peu importe les épreuves, leurs liens semblent aussi solides que le roc.
Sur le plan musical, l’intrigue se développe énormément dans ces épisodes 20 à 28. Outre les tensions apaisées entre Blast et Trapnest, c’est le groupe de Nana qui commence à décoller véritablement. Concerts en chaine, répétitions, un label qui les convoitent… Tout laisse croire que le décollage de Blast et son passage en pro est imminent. Toute cette intrigue est passionnante car l’ascension artistique des Blast peut avoir de grandes conséquences sur l’histoire et ses personnages et malgré toutes ces avancées, on ne peut s’empêcher de regretter un manque d’insistance sur cette dimension musicale qui, à l’heure actuelle, ne sert principalement qu’aux intrigues amoureuses et aux relations entre personnages, mais gageons que ceci pourrait changer par la suite.
La réalisation du studio Madhouse reste toujours aussi excellente, chose peu surprenante étant donné que le créateur d’anime nous a habitué à de très bonnes voir d’excellentes adaptations telles que Card Captor Sakura, Death Note ou plus récemment Hunter X Hunter « 2011 ». Plus que de simplement retranscrire le manga à l’écran, les réalisateur dotent cette adaptation d’une âme véritable, en se démarquant par exemple des différents plans proposés par Ai Yazawa ou en colorant d’une manière particulière l’univers terne de la version papier et en appuyant le chara-design des personnages, ce qui donne lieu à une ambiance esthétique remarquable.
Petite surprise dans ce coffret, le premier opening laisse place à un nouveau générique, interprété par « Trapnest », symbolisant la véritable entrée en scène du groupe rival. Néanmoins, en termes de travail artistique et surtout musical, on préfèrera la première composition d’Anna Tsuchiya amplement plus pêchue.
Du côté de l’édition, ce collector propose toujours les traditionnelles cartes d’illustration, le livret d’informations ainsi qu’un bonus plus exclusif. Après la cravate et le tapis de souris, c’est le CD audio qui vient garnir cette édition, proposant les premiers génériques dans leurs versions intégrales pour ceux qui apprécieraient les compositions d’Anna Tsuchiya et Olivia, incarnant les voix lyriques de Nana et Leila. En somme, un supplément vraiment appréciable et pertinent étant donné le thème central de la série !
Après trois coffrets, nous avons dépassé la moitié de l’anime Nana. Aussi, il est simple de constater le pouvoir addictif de cette adaptation. L’intrigue, très humaine, semble maîtrisée, la réalisation est sans défauts, l’adaptation fidèle au manga tout en possédant une âme qui lui est propre... L’appartement 707 n’aura jamais autant charmé, et c’est avec un grand plaisir qu’on suivra les épisodes suivants qui s’annoncent riches en évènements !
Après que Nana et Ren aient renoués, les liens entre Blast et Trapnest se sont détendus. Mais pour Hachi, ce qui compte est bien son rapprochement avec Takumi, son idole, sans se douter que quelqu’un d’autre s’est épris d’elle en secret. Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais Hachi ne se doute pas qu’elle se lance dans un méli-mélo relationnel…
Ce troisième coffret nous propose une nouvelle fois neuf nouveaux épisodes, ainsi qu’un épisode résumé totalement inutile. La série a entamé son développement d’un point de vue musical où désormais, ce sont bien les relations entre les deux groupes que sont Blast et Trapnest qui priment. De manière logique, nous faisons à chaque fois un peu plus connaissance avec chaque membre des deux groupes. Des amitiés se forment, voir des idylles, c’est une véritable avalanche de liens relationnels qui se dessinent sous nos yeux. D’une certaine manière, nous apprécions une ambiance plus conviviale que dans les premiers épisodes : Il ne s’agit plus de suivre différents groupes d’ami mais bien la réunion d’amis et musiciens, certains étant liés depuis de nombreuses années déjà. Ainsi, l’intrigue n’est pas avare en surprise de ce côté-là, chacun nous livre ses petits secrets permettant de renforcer la personnalité de chacun. D’une manière générale, on ne cesse de s’attacher aux différents membres des deux groupes tant chacun est doté d’un caractère qui lui est propre et occupe une place plus importante qu’au début de la série.
Nana, c’est avant tout une histoire d’amour, et c’est dans la continuité des épisodes précédents qu’on poursuit le développement amoureux du personnage de Hachi. Après avoir été trompée par Shoji, la jeune femme s’attache à un nouvel individu et pas des moindres puisqu’il s’agit de son idole musicale. En parallèle, un autre personnage s’est épris de la demoiselle… L’opposition entre les deux prétendants est telle que cela amène à un foutoir sentimentale qui vient apporter un grand intérêt à l’intrigue. On remarque par la même occasion le développement du personnage de Hachi, bien moins naïve qu’au début de la série et par conséquent bien plus attachant. En parallèle à ça, d’autres amourettes se créent, et Nana poursuit son idylle de rêve avec Ren. L’amour occupe donc une place cruciale dans ces nouveaux épisodes qui n’oublient cependant pas de s’intéresser à l’amitié entre les deux Nana. D’une manière générale, on observe la chaleureuse relation qui s’est formé entre les deux demoiselles, et on en retient que peu importe les épreuves, leurs liens semblent aussi solides que le roc.
Sur le plan musical, l’intrigue se développe énormément dans ces épisodes 20 à 28. Outre les tensions apaisées entre Blast et Trapnest, c’est le groupe de Nana qui commence à décoller véritablement. Concerts en chaine, répétitions, un label qui les convoitent… Tout laisse croire que le décollage de Blast et son passage en pro est imminent. Toute cette intrigue est passionnante car l’ascension artistique des Blast peut avoir de grandes conséquences sur l’histoire et ses personnages et malgré toutes ces avancées, on ne peut s’empêcher de regretter un manque d’insistance sur cette dimension musicale qui, à l’heure actuelle, ne sert principalement qu’aux intrigues amoureuses et aux relations entre personnages, mais gageons que ceci pourrait changer par la suite.
La réalisation du studio Madhouse reste toujours aussi excellente, chose peu surprenante étant donné que le créateur d’anime nous a habitué à de très bonnes voir d’excellentes adaptations telles que Card Captor Sakura, Death Note ou plus récemment Hunter X Hunter « 2011 ». Plus que de simplement retranscrire le manga à l’écran, les réalisateur dotent cette adaptation d’une âme véritable, en se démarquant par exemple des différents plans proposés par Ai Yazawa ou en colorant d’une manière particulière l’univers terne de la version papier et en appuyant le chara-design des personnages, ce qui donne lieu à une ambiance esthétique remarquable.
Petite surprise dans ce coffret, le premier opening laisse place à un nouveau générique, interprété par « Trapnest », symbolisant la véritable entrée en scène du groupe rival. Néanmoins, en termes de travail artistique et surtout musical, on préfèrera la première composition d’Anna Tsuchiya amplement plus pêchue.
Du côté de l’édition, ce collector propose toujours les traditionnelles cartes d’illustration, le livret d’informations ainsi qu’un bonus plus exclusif. Après la cravate et le tapis de souris, c’est le CD audio qui vient garnir cette édition, proposant les premiers génériques dans leurs versions intégrales pour ceux qui apprécieraient les compositions d’Anna Tsuchiya et Olivia, incarnant les voix lyriques de Nana et Leila. En somme, un supplément vraiment appréciable et pertinent étant donné le thème central de la série !
Après trois coffrets, nous avons dépassé la moitié de l’anime Nana. Aussi, il est simple de constater le pouvoir addictif de cette adaptation. L’intrigue, très humaine, semble maîtrisée, la réalisation est sans défauts, l’adaptation fidèle au manga tout en possédant une âme qui lui est propre... L’appartement 707 n’aura jamais autant charmé, et c’est avec un grand plaisir qu’on suivra les épisodes suivants qui s’annoncent riches en évènements !