Nuits d'Aksehir (les) - Actualité manga
Nuits d'Aksehir (les) - Manga

Avis sur Nuits d'Aksehir (les)

Shiroi machi no yorutachi

Utilisateur commun.

De Utilisateur commun., le 29 Juillet 2021 à 13h41

Je n'ai pas lu le manga, uniquement son synopsis, mais il n'a pas du tout l'air d'être en rapport avec l'islam, mais juste avec la culture turc, d'ailleurs, les amulettes vont à l'encontre des valeurs islamiques, l'islam interdit le port de celles-ci. Je n'ai donc pas compris pourquoi vous dites que le thème de ce manga est l'islam, si vous pouvez m'éclairer, merci. 

nolhane

De nolhane [6559 Pts], le 21 Novembre 2020 à 15h30

15/20

Ayako est une jeune femme qui étudie dans une école de mode à Tokyo. Elle porte un lourd fardeau autour du coup, une amulette turque lui rappelant une amitié pleine de remord et de culpabilité.
Une rencontre inattendu avec Hodja, un monsieur d'origine turc qui tiens un restaurant va lui permettre de retrouver goût en la vie. Ayako va commencer à travailler dans ce restaurent. Elle va y découvrir une culture qui lui est inconnue et rencontrer Zakuro, fascinante jeune femme qui anime le restaurant en proposant de la danse orientale.

Nous allons voir Ayako avancer, trébucher, questionner, se reconstruire via la découverte d'une culture qui lui était totalement inconnue.

Ce manga transpire la passion pour la Turquie. Que ce sois via l'alimentation, la langue, la danse orientale, la religion, les décorations ou encore l’architecture. Le récit est assez bien documenté et l'on en apprends plus au fil d'une histoire qui ne dépends pas de cette passion mais qui a quelque chose à raconter.

Au fil des rencontres, Ayako arrive a avancer dans son travail à l'école, elle reprends peu à peu confiance en elle, retrouve parfois plaisir d'étudier la mode, tisse de nouvelles amitiés malgré des amours loupés et anciennes amitiés nuisibles.

Mais ce manga ne se base pas uniquement sur la culture turc et Ayako. Il dresse le portrait d'une petite galerie de personnage attachant, possédant tous un passé, des blessures et des envies. Tout ce petit monde gravite au fil d'une histoire douce, simple mais prenante. La fin est belle car elle clos les intrigues tissées durant le récit de belle manière tout en laissant soin de garder un futur aux personnages qui pourrons ainsi perdurer dans notre esprit.

L'autrice, Raku Ichikawa dont s'est la première œuvre, possède un coup de crayon qui n'a pas encore atteint sa maturité mais qui possède déjà un style bien à elle. Le titre n'est pas inoubliable visuellement mais la douce narration est excellente. Le dessin monte peu à peu en puissance et réserve quelques bonnes surprises lors de cases ou pages vraiment belles et dotées d'un vraie cachet.

Un beau manga, court mais qui dresse un beau portrait de jeunesse attiré par une culture qui lui est étrangère. S'est aussi un crie d'amour à la culture turc.

Raku Ichikawa est une autrice à suivre et qui possède déjà un jolie coup de crayon.

Une jolie trouvaille des éditions Akata.

bubulle62

De bubulle62 [9285 Pts], le 20 Septembre 2017 à 09h25

12/20

plutot déçu par cette série qui ne m'a pas plus interesser que ça

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