Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 29 Juin 2021
Le plan d'hypnose à grande échelle de Gilliam pose de sérieux problèmes au sein de B.A.B.E.l. et de P.A.N.D.R.A., au point que les membres encore lucides des deux organisations adverses ont choisi d'unir leur forces. Ainsi, tandis que Kôichi et Sakaki se sont enfuis de 'observatoire où ils avaient été exilés par B.A.B.E.L. pour rejoindre les Children, Hyôbu et les siens ont accepté de leur prêter main forte. Mais l'infiltration des locaux semble proche de tourner au drame, dès lors que Fujiko, l'emblématique directrice contaminée psychiquement par les Black Phantom, se tire une balle dans la tête sans avoir le contrôle d'elle-même...
Nous laissions donc nos héros au plus mal à la toute fin du tome 48, et la situation très tendue ne manque pas de se confirmer dès le début de ce 49e volume. Une Fujiko entre la vie et la mort qu'il faudrait pouvoir soigner le plus urgemment possible, Magi qui revient à la charge en étant toujours hypnotisé pour s'en prendre à son maître, les forces de B.A.B.E.L. qui sont en route pour mettre en état d'arrestation nos héros... Bref, la situation est critique, et aucune échappatoire ne semble possible... ou, en tout cas, aucune échappatoire où tout le monde s'en sortirait sans souci. Certains membres du groupe comprennent bien que certains sacrifices vont être nécessaires... en particulier Hyôbu, qui a conscience que Gilliam cherche avant tout à le plonger dans la douleur et le désespoir. Si bien que le chef de P.A.N.D.R.A. et amené à prendre un décisions lourde... mais non sans avoir une idée derrière la tête.
Et pas mal de choses, dans ce tome, vont découler de l'acte fou de Hyôbu. Quelques changements de statut chez les personnages sont à l'ordre du jour dans ce tome, à commencer bien sûr par la nouvelle place reprise par Kaoru vis-à-vis de P.A.N.D.R.A., chose sur laquelle on va éviter d'en dire plus pour ne pas spoiler. Mais en parallèle, bien d'autres choses se passent également. A "petite échelle", on appréciera assez les actions, maladroites ou non, de différents membres de P.A.N.D.R.A. principalement, qui tentent d'apporter leur aide à leur façon, tandis qu'en face les "ennemis" sont toujours plus présents, notamment parce que l'hypnose continue de toucher de plus en plus de personnages, dont des têtes que l'on connaît bien. Et à plus grande échelle, les événements actuels ne font qu'entretenir l'un des but de Gilliam, à savoir accentuer la division entre normaux et Espers, à pousser le rejet des deuxièmes par les premiers, ce qui passe notamment par des déclarations houleuses du président des Etats-Unis de Comérique qui nous rappelleraient presque un certain Donald Trump, autant dans le design que dans le discours.
Zettai Karen Children reste alors sur une très bonne dynamique avec ce volume. Même s'il y a toujours quelques-unes des notes d'humour typique de Takashi Shiina, la partie actuellement confirme ses enjeux plus forts... ce qui n'augure que du bon pour la suite, alors que la série s'apprête à atteindre la barre symbolique des 50 tomes.
Nous laissions donc nos héros au plus mal à la toute fin du tome 48, et la situation très tendue ne manque pas de se confirmer dès le début de ce 49e volume. Une Fujiko entre la vie et la mort qu'il faudrait pouvoir soigner le plus urgemment possible, Magi qui revient à la charge en étant toujours hypnotisé pour s'en prendre à son maître, les forces de B.A.B.E.L. qui sont en route pour mettre en état d'arrestation nos héros... Bref, la situation est critique, et aucune échappatoire ne semble possible... ou, en tout cas, aucune échappatoire où tout le monde s'en sortirait sans souci. Certains membres du groupe comprennent bien que certains sacrifices vont être nécessaires... en particulier Hyôbu, qui a conscience que Gilliam cherche avant tout à le plonger dans la douleur et le désespoir. Si bien que le chef de P.A.N.D.R.A. et amené à prendre un décisions lourde... mais non sans avoir une idée derrière la tête.
Et pas mal de choses, dans ce tome, vont découler de l'acte fou de Hyôbu. Quelques changements de statut chez les personnages sont à l'ordre du jour dans ce tome, à commencer bien sûr par la nouvelle place reprise par Kaoru vis-à-vis de P.A.N.D.R.A., chose sur laquelle on va éviter d'en dire plus pour ne pas spoiler. Mais en parallèle, bien d'autres choses se passent également. A "petite échelle", on appréciera assez les actions, maladroites ou non, de différents membres de P.A.N.D.R.A. principalement, qui tentent d'apporter leur aide à leur façon, tandis qu'en face les "ennemis" sont toujours plus présents, notamment parce que l'hypnose continue de toucher de plus en plus de personnages, dont des têtes que l'on connaît bien. Et à plus grande échelle, les événements actuels ne font qu'entretenir l'un des but de Gilliam, à savoir accentuer la division entre normaux et Espers, à pousser le rejet des deuxièmes par les premiers, ce qui passe notamment par des déclarations houleuses du président des Etats-Unis de Comérique qui nous rappelleraient presque un certain Donald Trump, autant dans le design que dans le discours.
Zettai Karen Children reste alors sur une très bonne dynamique avec ce volume. Même s'il y a toujours quelques-unes des notes d'humour typique de Takashi Shiina, la partie actuellement confirme ses enjeux plus forts... ce qui n'augure que du bon pour la suite, alors que la série s'apprête à atteindre la barre symbolique des 50 tomes.