Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 22 Janvier 2019
En tentant d'influer en bien sur la vie du petit Daichi qui a le même pouvoir que lui, Kôji s'interroge beaucoup lui aussi, sur lui-même, notamment sur son utilité auprès de cet enfant, sur es relations, si bien qu'il envisage même de reprendre contact avec ses parents ! C'est dans cette atmosphère qu'arrivent de nouveaux événements du quotidien ainsi que la Saint-Valentin, où l'adolescent espère entre autres recevoir des chocolats de sa chère Kanai. Mais la tournure des événements pourrait surtout le pousser à en découvrir un eu plus sur l'un de ses amis... mais aussi sur Daichi, qui n'a eut-être pas fini de l'étonner dès lors que le petit garçon se confronte à d'autres enfants au premier abord peu sympathiques avec lui...
Tandis que la Saint-Valentin s'écoule entre humour et petits événements dans une ambiance très quotidienne, le volume marque en premier lieu surtout pour les nouveaux problèmes vécus par Daichi à partir du moment où il rencontre les autres enfants. Ceux-ci ne semblent d'abord pas avoir vraiment de bonnes intentions, mais cela ne cacherait-il pas quelque chose ? Le petit garçon saura-t-il utiliser son pouvoir à bon escient pour changer les choses ? Clairement, l'enfant montre ici qu'il continue d'évoluer, de chercher à aller dans le bon sens en allant au contact des autres et en dépassant les craintes et incompréhensions qu'il avait autrefois. Il en résulte quelque chose qui semble très bénéfique, non seulement pour lui, mais aussi pour Kôji qui ne peut, lui-même, qu'être inspiré par l'exemple montré par ce petit garçon. Car si Kôji semble avoir un impact positif sur Daichi, l'inverse est tout aussi vrai, et cela pousse l'adolescent à prendre de nouvelles décisions importantes, que ce soit vis-à-vis de ses parents, de son choix de ne pas avoir dit la vérité aux Narahara sur son pouvoir, ou même de sa relation avec son ami Yûsuke, garçon difficile à cerner mais qu'il parvient enfin à comprendre un peu plus, non sans l'aide de son pouvoir. Ainsi, la capacité fantastique que les deux personnages principaux possèdent semble de plus en plus positive dans leur vie, et ce qui pouvait être un handicap auparavant apparaît désormais comme un moteur pour aller au contact des autres et cherche à mieux les comprendre. Mais un tel pouvoir n'existant pas dans notre réalité, la mangaka Yoko Fujitani nous montre alors surtout à quel points les relations humaines peuvent être complexes, parfois difficiles à comprendre, mais primordiales.
Tandis que la Saint-Valentin s'écoule entre humour et petits événements dans une ambiance très quotidienne, le volume marque en premier lieu surtout pour les nouveaux problèmes vécus par Daichi à partir du moment où il rencontre les autres enfants. Ceux-ci ne semblent d'abord pas avoir vraiment de bonnes intentions, mais cela ne cacherait-il pas quelque chose ? Le petit garçon saura-t-il utiliser son pouvoir à bon escient pour changer les choses ? Clairement, l'enfant montre ici qu'il continue d'évoluer, de chercher à aller dans le bon sens en allant au contact des autres et en dépassant les craintes et incompréhensions qu'il avait autrefois. Il en résulte quelque chose qui semble très bénéfique, non seulement pour lui, mais aussi pour Kôji qui ne peut, lui-même, qu'être inspiré par l'exemple montré par ce petit garçon. Car si Kôji semble avoir un impact positif sur Daichi, l'inverse est tout aussi vrai, et cela pousse l'adolescent à prendre de nouvelles décisions importantes, que ce soit vis-à-vis de ses parents, de son choix de ne pas avoir dit la vérité aux Narahara sur son pouvoir, ou même de sa relation avec son ami Yûsuke, garçon difficile à cerner mais qu'il parvient enfin à comprendre un peu plus, non sans l'aide de son pouvoir. Ainsi, la capacité fantastique que les deux personnages principaux possèdent semble de plus en plus positive dans leur vie, et ce qui pouvait être un handicap auparavant apparaît désormais comme un moteur pour aller au contact des autres et cherche à mieux les comprendre. Mais un tel pouvoir n'existant pas dans notre réalité, la mangaka Yoko Fujitani nous montre alors surtout à quel points les relations humaines peuvent être complexes, parfois difficiles à comprendre, mais primordiales.
L'autrice prend son temps, enrobe son récit dans une ambiance assez quotidienne, et cela lui permet de continuer à aborder avec une certaine finesse ses personnages et ses thèmes autour des rapports humains. On reste sur une jolie lecture.
04/07/2019 