Vacances de Jésus et Bouddha (les) Vol.14 - Actualité manga
Vacances de Jésus et Bouddha (les) Vol.14 - Manga

Vacances de Jésus et Bouddha (les) Vol.14 : Critiques

Sei Onii san - Saint Young Men

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 05 Juin 2018

Désormais bien acclimatées avec la vie sur Terre, les deux divinités envisagent de faire de la place dans leur appartement en vendant leur trop-plein durant une brocante...mais bien évidemment rien ne se passe jamais simplement pour les deux dieux sans cesse rattrapés par leurs pouvoirs... 


Se déroulant toujours de la même façon et suivant toujours le même schéma, le titre, bien que demeurant amusant, ne surprend plus et peine de plus en plus à se renouveler, ce qui est malheureusement le cas pour ce genre de titre reposant sur des histoires courtes comiques en un seul chapitre. Et un peu à la manière d'un Keroro, le titre commence à tirer sur la corde, à s'étendre plus que nécessaire, car les récits, aussi plaisants soient-ils, n'apportent plus rien de neuf! 


Ici on retrouve des figures déjà apparues tels que Loki ou Zeus, sans oublier bien entendu les apôtres et les fidèles de chacun des Dieux pour des récits toujours plus loufoques, par exemple l'achat d'une nouvelle voiture financée par le budget divin. 


Le seul nouveau personnage à être introduit ici n'est autre que Paul, l'un des plus fidèles serviteurs de Jésus, ayant rédigé la plus grande partie du Nouveau Testament. Cela donne lieu à de nouveaux quiproquos assez amusants, mais rien d'exceptionnel non plus! 


Les deux chapitres qui se dégagent (bien que cela soit très subjectif, chacun aura tendance à préférer tel ou tel chapitre) sont ceux avec Judas qui continue à subir la colère divine avec une malchance incroyable...si Jésus lui a pardonné sa trahison, Dieu, le père du premier, continue à le faire payer avec par exemple des cakes au chocolat ne contenant qu'une seule pépite de chocolat...quelle terrible sanction! 


L'autre chapitre un peu au-dessus du lot est celui marquant le retour de Loki, désormais vendeur chez Ikea, qui demande à ses enfants, les monstres du Ragnarok, de jouer le jeu pour une chasse aux tampons pour un enfant... 


Beaucoup de traits sont surjoués, exagérés, l'auteur continue de jouer avec les références des deux religions, cela demeure amusant à n'en pas douter, mais on commence à avoir fait le tour de la question. 


Bien qu'on sourit volontiers à plusieurs reprises, l'effet est moindre qu'auparavant et on commence à se lasser malgré toute l'affection qu'on peut avoir pour ce titre.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Erkael
13 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs