Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 26 Novembre 2019
Tôta a noué bon nombre de Pactio et développé de puissants pouvoirs, suite à sa rencontre avec un autre membre de UQ Holder. Il est donc temps pour lui de se confronter à Fate Averruncus et lui proposer une autre alternative pour libérer Negi de Yolda Baoth...
Après s'être éparpillé, souvent pour le meilleur, UQ Holden revient à son intrigue principale, celle centrée sur le sauvetage de Negi, possédé par la redoutable Yolda Baoth, la mage du commencement. Le début du volume donnent d'ailleurs l'habitude d'aller un peu vite en besogne, quitte à ce que le lecteur pense avoir loupé un épisode. En réalité, le tome est construit de manière plus originale que d'habitude, car dévoilant le résultat d'un nouvel entrainement de Tôta avant d'aborder le dit entraînement via un retour de quelques semaines en arrière.
Et d'une manière assez générale, il y a parfois de quoi être perdu dans cet opus extrêmement dense. Ken Akamatsu y aborde énormément de facettes de son récit, qu'il s'agisse du plan de sauvetage de Negi, la montée en puissance du héros, ou tout simplement de nouveaux développements de l'univers grâce à de nouveaux personnages qui ont le mérite d'aborder une facette inédit de Negima/UQ Holder. Il faudra alors être attentif pour saisir les nouvelles explications de l'auteur qui partent loin, très loin. A ce stade, a moins de relire attentivement l'ensemble des deux séries, difficile de savoir si Ken Akamatsu est cohérent avec tout ce qu'il a entrepris jusqu'à présent. Mais le tout fonctionne, on croit à ce qui nous est dit tant cela s'avère conforme aux élans de SF abordés depuis la fin de Negima.
Beaucoup d'explication, mais aussi pas mal d'action, notamment sur la fin de volume qui amorce une bataille qui méritera d'être éclaircie au prochain volume. De nouveaux adversaires, oui, mais pourquoi ? Malgré cette interrogation, l'action qui nous est proposée est efficace, l'auteur étant toujours habile pour dépeindre des affrontements violents et explosifs. Et parce que le genre est ce qu'il est, les personnages se révèlent toujours plus puissant, atteignant ici des niveaux qui semblent encore plus dantesques qu'à la fin de Negima.
Enfin, c'est par la mise en avant d'un nouveau personnage, présent sur la couverture, que ce vingtième tome se révèle aussi plaisant. En plus d'aborder une autre facette de l'univers, il noue des interactions plutôt intéressantes avec Tôta. Mais, là aussi, certains points à son sujet mériteront d’être abordés par la suite.
Ainsi, Ken Akamatsu nous propos un tome vingt particulièrement généreux, tant celui-ci aborde de points tout en proposant de bonnes séquences d'affrontements. UQ Holder franchit encore un cap dans tout ce qui est raconté, et il faudra que le mangaka parvienne à donner du temps de développer à tout cet ensemble pour que ces amorces soit honorées dignement. Pour le moment, on est parfois confus, mais on fait confiance au maître pour parvenir à décortiquer correctement tout ça par la suite, sachant qu'il y est toujours parvenu jusqu'à présent.
Après s'être éparpillé, souvent pour le meilleur, UQ Holden revient à son intrigue principale, celle centrée sur le sauvetage de Negi, possédé par la redoutable Yolda Baoth, la mage du commencement. Le début du volume donnent d'ailleurs l'habitude d'aller un peu vite en besogne, quitte à ce que le lecteur pense avoir loupé un épisode. En réalité, le tome est construit de manière plus originale que d'habitude, car dévoilant le résultat d'un nouvel entrainement de Tôta avant d'aborder le dit entraînement via un retour de quelques semaines en arrière.
Et d'une manière assez générale, il y a parfois de quoi être perdu dans cet opus extrêmement dense. Ken Akamatsu y aborde énormément de facettes de son récit, qu'il s'agisse du plan de sauvetage de Negi, la montée en puissance du héros, ou tout simplement de nouveaux développements de l'univers grâce à de nouveaux personnages qui ont le mérite d'aborder une facette inédit de Negima/UQ Holder. Il faudra alors être attentif pour saisir les nouvelles explications de l'auteur qui partent loin, très loin. A ce stade, a moins de relire attentivement l'ensemble des deux séries, difficile de savoir si Ken Akamatsu est cohérent avec tout ce qu'il a entrepris jusqu'à présent. Mais le tout fonctionne, on croit à ce qui nous est dit tant cela s'avère conforme aux élans de SF abordés depuis la fin de Negima.
Beaucoup d'explication, mais aussi pas mal d'action, notamment sur la fin de volume qui amorce une bataille qui méritera d'être éclaircie au prochain volume. De nouveaux adversaires, oui, mais pourquoi ? Malgré cette interrogation, l'action qui nous est proposée est efficace, l'auteur étant toujours habile pour dépeindre des affrontements violents et explosifs. Et parce que le genre est ce qu'il est, les personnages se révèlent toujours plus puissant, atteignant ici des niveaux qui semblent encore plus dantesques qu'à la fin de Negima.
Enfin, c'est par la mise en avant d'un nouveau personnage, présent sur la couverture, que ce vingtième tome se révèle aussi plaisant. En plus d'aborder une autre facette de l'univers, il noue des interactions plutôt intéressantes avec Tôta. Mais, là aussi, certains points à son sujet mériteront d’être abordés par la suite.
Ainsi, Ken Akamatsu nous propos un tome vingt particulièrement généreux, tant celui-ci aborde de points tout en proposant de bonnes séquences d'affrontements. UQ Holder franchit encore un cap dans tout ce qui est raconté, et il faudra que le mangaka parvienne à donner du temps de développer à tout cet ensemble pour que ces amorces soit honorées dignement. Pour le moment, on est parfois confus, mais on fait confiance au maître pour parvenir à décortiquer correctement tout ça par la suite, sachant qu'il y est toujours parvenu jusqu'à présent.
16/11/2022 