Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 26 Février 2010
“Pourquoi t'es là? Allez, vas-y! Repars sur ton étoile!”
Décidément, Natsuki Takaya sait y faire! Ce troisième volume évolue en crescendo: la lecture commence doucement, très calme, rythmée par quelques petites surprises tout de même, pour terminer en apothéose. Le lecteur est pris dans une cascade de larmes, mais émotive et réussie. L'impuissance de Sakuya est mise en avant. Sa faiblesse d'enfant l'a empêchée d'avancer, mais la jeune fille est forte et fait face aux embûches que la vie lui met entre les jambes, avec courage et ferveur. Elle n'en devient que plus attachante et attendrissante. Le personnage de Chihiro, quant à lui garde, beaucoup de mystère, mais également, il montre d'autres facettes de sa personnalité. L'auteure en profite pour nous montrer des nouvelles expressions du visage du garçon, inconnues par le lecteur jusqu'à maintenant. Ces passages, qui ne laissent pas indifférents, ne font que grandir notre intérêt pour ce mystérieux jeune homme. De plus, la mignonne Sakuya est comme un aimant qui l'attire, auquel il ne peut résister. Et il faut l'avouer, cette situation est toujours irrésistible dans les shôjos!
Enfin, la question de la famille, mais aussi du poids des enfants est au cœur de ce tome. La situation de Sakuya n'en est que plus triste, sans devenir lassante pour autant, ou trop exagérée. Mais aussi, Kanade contribue à montrer du doigt les irresponsables, et malgré son manque de sociabilité qui lui est reproché par ses voisins et sa famille, il fait ici bonne figure, et même plus, il se montre plus investi pour sa famille que quiconque. Nous voilà encore une fois face à un personnage touchant, dont les apparitions, les prises de parole mais aussi le silence laissent bien souvent sans voix, et non sans émotion.
Décidément, Natsuki Takaya sait y faire! Ce troisième volume évolue en crescendo: la lecture commence doucement, très calme, rythmée par quelques petites surprises tout de même, pour terminer en apothéose. Le lecteur est pris dans une cascade de larmes, mais émotive et réussie. L'impuissance de Sakuya est mise en avant. Sa faiblesse d'enfant l'a empêchée d'avancer, mais la jeune fille est forte et fait face aux embûches que la vie lui met entre les jambes, avec courage et ferveur. Elle n'en devient que plus attachante et attendrissante. Le personnage de Chihiro, quant à lui garde, beaucoup de mystère, mais également, il montre d'autres facettes de sa personnalité. L'auteure en profite pour nous montrer des nouvelles expressions du visage du garçon, inconnues par le lecteur jusqu'à maintenant. Ces passages, qui ne laissent pas indifférents, ne font que grandir notre intérêt pour ce mystérieux jeune homme. De plus, la mignonne Sakuya est comme un aimant qui l'attire, auquel il ne peut résister. Et il faut l'avouer, cette situation est toujours irrésistible dans les shôjos!
Enfin, la question de la famille, mais aussi du poids des enfants est au cœur de ce tome. La situation de Sakuya n'en est que plus triste, sans devenir lassante pour autant, ou trop exagérée. Mais aussi, Kanade contribue à montrer du doigt les irresponsables, et malgré son manque de sociabilité qui lui est reproché par ses voisins et sa famille, il fait ici bonne figure, et même plus, il se montre plus investi pour sa famille que quiconque. Nous voilà encore une fois face à un personnage touchant, dont les apparitions, les prises de parole mais aussi le silence laissent bien souvent sans voix, et non sans émotion.
30/11/2011 