Tsubaki love Vol.13 - Actualité manga

Tsubaki love Vol.13 : Critiques

Kyou, Koi wo Hajimemasu

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 04 Février 2014

Sous le poids du travail qu’elle doit fournir, Tsubaki s’effondre et se retrouve à l’infirmerie, inconsciente. Sa mère, affolée, s’inquiète et pense que tout est de la faute de Kyota. Elle ne peut pas assister au dernier de ses examens, s’étant effondrée trop tôt. Elle maintient que son amour n’y est pour rien, et pourtant elle va décider de prendre un peu de distance, le temps d’avoir les idées plus claires sur son avenir et ses études. Que faire, mais surtout dans quel but ? Kyota a un but, et elle ne sait même pas de quoi demain sera fait. Quoi de plus normal que d’arrêter de voir son petit ami, donc ? C’est évidemment la faute de l’amour. Ce n’est pas comme si l’amour permettait de se soutenir l’un l’autre, hein. Qu’il aidait à traverser les épreuves. Et non. Avec un chagrin d’amour sur le dos, Tsubaki ne pourra que mieux réussir ses examens et trouver ce qu’elle veut faire pour l’avenir.

Ils passent donc un dernier rendez-vous ensemble, que l’auteur veut chargé d’émotion. Pourtant, on est tellement déstabilisé par la logique stupide qui veut juste les faire se séparer pour un peu de pathos et d’effets de manche, qu’on est pas émus le moins du monde. Surtout qu’ils font une pause mais que Kyota pense que Tsubaki va aller voir ailleurs avec un autre mec, et que la jeune fille veut lui rendre ses cadeaux. On appelle ça une RUPTURE, Kanan Minami ! Stupéfiant à quel point c’est ridicule. Et puis un homme un peu bizarre débarque et va harceler Tsubaki. Il se passionne pour ses cheveux, et on apprend qu’il est un coiffeur professionnel. Et la jeune fille va d’abord se méfier, puis l’admirer et souhaiter le suivre. Comme si son destin lui était tombé entre les mains. Que c’est pratique d’être une héroïne de shojo.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
NiDNiM
8 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs