Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 26 Décembre 2013
Un tome quasiment entièrement consacré au combat contre le judoka, mais ça se lit avec beaucoup de plaisir. Les derniers chapitres font une ouverture pour la suite : le père de Kibo semble être un monstre dont Kibo est loin d’avoir le niveau, et un nouvel adversaire apparaît, un lutteur, élève du redoutable « Iron » Kiba qui jouera un grand rôle pour la suite !
Il faut savoir que Kiba est inspiré d’Antonio Inoki, un lutteur Japonais considéré comme un demi Dieu au Japon, il est le premier à avoir fait un match s’approchant du combat libre face à Mohamed Ali (bon le match était pourri).
De même en fin de tome on retrouve l’entretien avec une star locale du combat mais après le maître martial, cette fois (et il en sera désormais toujours de même) est à l’honneur un combattant contemporain pratiquant un sport de combat médiatisé au Japon. Ici le très célèbre King of Pancrase : Funaki !
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Avant son combat contre Goji Kano, Kiichi va suivre un entrainement rigoureux afin de maîtriser une technique secrète du nadashinkagé... malheureusement, affaibli par ces précédents combats, notre héros peine à assimiler parfaitement cette arcane, alors que le combat contre le terrible judoka est sur le point de commencer...
Après la phase d'entrainement qui est très classique dans ce type de manga, nous allons passer aux choses sérieuses et assister au combat tant attendu. Comme on l'espérait, Kiichi va tout de suite se surpasser et ne rien lâcher face à son adversaire qui le surclasse pourtant totalement en terme de puissance. Il va même parvenir à élaborer une stratégie qui va payer à la longue, et qui consiste à affaiblir encore plus son ennemi en essayant de focaliser ses coups sur un point bien précis. De son côté, Goji Kanno va également donner le meilleur de lui-même, et ira même jusqu'à utiliser des techniques mortelles et interdites de judo.
L'affrontement est dépeint de façon dynamique, et joue beaucoup sur des retournements de situation et des surprises qui feront leur petit effet sur le lecteur. Au niveau des graphismes, Tetsuya Saruwatari est globalement fidèle à lui-même, mais on remarquera quand même des grossières erreurs de proportion d'une planche à l'autre. Ainsi, des fois Goji a l'air d'être deux à trois fois plus grand que Kiichi alors qu'en fait leur taille n'est différente que de 30cm (on peut affirmer cela avec certitude car les statistiques des deux combattants sont communiquées juste avant le combat).
Par la suite, une nouvel arc va commencer, et ce dernier va nous plonger dans le monde des catcheur. Un nouveau personnage, prénommé Iron Kiba, assez charismatique, est introduit. Il s'agit de la copie conforme d'un catcheur japonais qui existe réellement : Antonio Inoki. Dans le manga, c'est un vieux rival du père de Kiichi, et son arrivée nous permet d'en savoir un plus sur le passé de ce personnage encore mystérieux...
Il faut savoir que Kiba est inspiré d’Antonio Inoki, un lutteur Japonais considéré comme un demi Dieu au Japon, il est le premier à avoir fait un match s’approchant du combat libre face à Mohamed Ali (bon le match était pourri).
De même en fin de tome on retrouve l’entretien avec une star locale du combat mais après le maître martial, cette fois (et il en sera désormais toujours de même) est à l’honneur un combattant contemporain pratiquant un sport de combat médiatisé au Japon. Ici le très célèbre King of Pancrase : Funaki !
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Avant son combat contre Goji Kano, Kiichi va suivre un entrainement rigoureux afin de maîtriser une technique secrète du nadashinkagé... malheureusement, affaibli par ces précédents combats, notre héros peine à assimiler parfaitement cette arcane, alors que le combat contre le terrible judoka est sur le point de commencer...
Après la phase d'entrainement qui est très classique dans ce type de manga, nous allons passer aux choses sérieuses et assister au combat tant attendu. Comme on l'espérait, Kiichi va tout de suite se surpasser et ne rien lâcher face à son adversaire qui le surclasse pourtant totalement en terme de puissance. Il va même parvenir à élaborer une stratégie qui va payer à la longue, et qui consiste à affaiblir encore plus son ennemi en essayant de focaliser ses coups sur un point bien précis. De son côté, Goji Kanno va également donner le meilleur de lui-même, et ira même jusqu'à utiliser des techniques mortelles et interdites de judo.
L'affrontement est dépeint de façon dynamique, et joue beaucoup sur des retournements de situation et des surprises qui feront leur petit effet sur le lecteur. Au niveau des graphismes, Tetsuya Saruwatari est globalement fidèle à lui-même, mais on remarquera quand même des grossières erreurs de proportion d'une planche à l'autre. Ainsi, des fois Goji a l'air d'être deux à trois fois plus grand que Kiichi alors qu'en fait leur taille n'est différente que de 30cm (on peut affirmer cela avec certitude car les statistiques des deux combattants sont communiquées juste avant le combat).
Par la suite, une nouvel arc va commencer, et ce dernier va nous plonger dans le monde des catcheur. Un nouveau personnage, prénommé Iron Kiba, assez charismatique, est introduit. Il s'agit de la copie conforme d'un catcheur japonais qui existe réellement : Antonio Inoki. Dans le manga, c'est un vieux rival du père de Kiichi, et son arrivée nous permet d'en savoir un plus sur le passé de ce personnage encore mystérieux...
09/05/2007 