To Love Darkness Vol.13 - Actualité manga
To Love Darkness Vol.13 - Manga

To Love Darkness Vol.13 : Critiques

To love darkness

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 16 Décembre 2015

Le problème du Darkness d'Ombre Dorée est temporairement réglé... mais Lala, elle est toujours rajeunie, car elle a consumé trop de son pouvoir pendant le combat ! Inquiète pour sa fille, sa mère décide se déplacer, sans avoir idée de tout le remue-ménage qu'elle va provoquer... Pas facile d'être la plus belle femme de l'univers !

Car oui, Sephi Michaela Deviluke est considérée comme telle, et après 18 tome de T love et 13 volumes de To love darkness, l'heure est enfin venue de faire sa connaissance. Dans leur préface, les deux auteurs avouent que le personnage était finalisé depuis l'époque de To love, mais qu'ils n'avaient jamais su exactement quand l'intégrer, et le moment semble plutôt bien choisi.
En effet, juste après l'affaire du Darkness, c'est avec plaisir que l'on replonge dans une autre ambiance, à la découverte de cette femme qui n'a sans doute pas volé sa réputation. Jugez vous-même : au-delà de son corps de rêve, elle est contrainte de vivre le visage voilé, car tout mâle le voyant tombe irrésistiblement sous son charme au point d'avoir envie de lui sauter dessus, et la beauté de sa voix est telle qu'elle est capable d'adoucir les hommes. Les retrouvailles de la dame avec ses trois filles sont évidemment joyeuses et diverses (Nana faisant un peu le bébé est amusante), et l'on apprécie son arrivée autant pour ses charmes plus matures que pour les informations sur ses origines, sur sa rencontre avec son mari, sur les pouvoirs qu'elle a transmis à ses filles... et pour l'étonnant comportement qu'a Rito face à elle en découvrant son visage. Mine de rien, bien que sa venue n'occupe pas la moitié du tome et même si on aurait aimé la découvrir un peu plus longuement, son arrivée apporte donc pas mal de petites choses dans l'univers de la série, la cerise sur le gâteau étant sa perspicacité et son avis au sujet de l'opération harem de Momo.

La suite du volume revient à des récits indépendants, amusants, légers, et évidemment toujours bourrés d'un aspect ecchi bien assumé. Entre autres, Rito se voit rajeuni jusqu'à redevenir un bébé, et Haruna et Yui ne le reconnaissant pas s'occupent très bien de lui, ce qui permettra notamment d'entrevoir une facette un peu coquine d'une Kotegawa que l'on n'avait jamais vue ainsi. Puis c'est Rin Kujo que l'on découvre sous un autre jour et dans d'autres vêtements que ses habituelles tenues strictes, au gré d'un rendez-vous organisé par Saki et qui va forcément partir en vrille au vu des plans idiots de la blondinette. Sans oublier, bien sûr, le dernier chapitre, revenant brièvement sur une facette commune du passé et Tiaye et de Mikado, et surtout sur l'évolution qui commence à se faire en Ombre Dorée au sujet de Rito... Sur ce dernier point, quelques cases des dernières pages nous montrent une p'tite Ombre là aussi plutôt inattendue, et adorable dans sa volonté de changer un peu de comportement.

Ajoutons à cela le coup de crayon toujours aussi divin de Kentaro Yabuki, et l'on obtient un volume vraiment plaisant, que ce soit pour l'abord de ses personnages, pour l'aspect coquin pleinement assumé et bien gratté, pour les petites informations disséminées, ou pour les quelques évolutions qu'il laisse envisager.

Cette fois-ci, par contre, pas de chapitres bonus.
Et côté édition, on reste toujours sur quelque chose de très agréable à prendre en main, que ce soit grâce au papier souple, aux pages couleur toujours au rendez-vous, à la traduction et aux onomatopées suffisamment soignées... Seules quelques fautes de français (pas trop présentes) viennent faire tiquer.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
14 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs