Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 28 Juillet 2009
Comme prévu, Ryutaro prête main forte à Noboru et Arase. On assiste sans surprise à une fin heureuse ainsi qu'à l'arrivée du nouvel anesthésiste de l'équipe de la thèse Batista. Encore un passage où l'auteur joue quelque peu la facilité. Il vient au moins mettre en lumière les pratiques de certaines firmes pharmaceutiques.
C'est encore une histoire de mauvaises pratiques médicales qui suit. Un oubli de matériel dans le corps d'un patient est couvert par la direction de l'hôpital afin de maintenir son image de marque. Le docteur Kihara, personnification du médecin incompétent, est de la partie. On en découvre un peu plus sur lui en même temps qu'une comparaison entre les critères d'attribution du titre de chirurgien au Japon et aux États-Unis est faite. Le lecteur en tirera les conclusions affligeantes.
L'auteur redonne ensuite un coup de pied à la trame principale. La seconde opération Batista commence alors que le sort d'Akira et de sa thèse est terriblement menacé par la décision de son professeur. L'équipe est au pied du mur mais après plusieurs tergiversations, Akira ne laisse pas tomber. A la fin de ce volume, on ne sait rien de ses projets. Pour autant, on se demande bien comment elle va pouvoir se défendre. Même avec le peu de connaissance du système médical japonais que le lecteur français peut avoir, il comprend vite que les chances de réussite d'Akira sont minces. Espérons que Nogizaka ne cède pas trop à la facilité et fassent de ce nouveau défi un pétard mouillé.
Comme à son habitude l'auteur s'amuse graphiquement avec exagération et pose théâtrale, mais il s'essaye ici à quelques dessins au trait très réaliste. On apprécie. Tout comme cette histoire qui bien qu'elle se veuille réaliste joue parfois la facilité. Mais ça fonctionne toujours pour l'instant.
C'est encore une histoire de mauvaises pratiques médicales qui suit. Un oubli de matériel dans le corps d'un patient est couvert par la direction de l'hôpital afin de maintenir son image de marque. Le docteur Kihara, personnification du médecin incompétent, est de la partie. On en découvre un peu plus sur lui en même temps qu'une comparaison entre les critères d'attribution du titre de chirurgien au Japon et aux États-Unis est faite. Le lecteur en tirera les conclusions affligeantes.
L'auteur redonne ensuite un coup de pied à la trame principale. La seconde opération Batista commence alors que le sort d'Akira et de sa thèse est terriblement menacé par la décision de son professeur. L'équipe est au pied du mur mais après plusieurs tergiversations, Akira ne laisse pas tomber. A la fin de ce volume, on ne sait rien de ses projets. Pour autant, on se demande bien comment elle va pouvoir se défendre. Même avec le peu de connaissance du système médical japonais que le lecteur français peut avoir, il comprend vite que les chances de réussite d'Akira sont minces. Espérons que Nogizaka ne cède pas trop à la facilité et fassent de ce nouveau défi un pétard mouillé.
Comme à son habitude l'auteur s'amuse graphiquement avec exagération et pose théâtrale, mais il s'essaye ici à quelques dessins au trait très réaliste. On apprécie. Tout comme cette histoire qui bien qu'elle se veuille réaliste joue parfois la facilité. Mais ça fonctionne toujours pour l'instant.