Step up love story Vol.29 - Actualité manga
Step up love story Vol.29 - Manga

Step up love story Vol.29 : Critiques

Futari Echi

Critique du volume manga

Publiée le Vendredi, 03 Septembre 2010

Une petite fête est donné chez les Onoda pour saluer l'arriver de la famille Watanabe dans la résidence, et notamment de Keisuké, le jeune professeur de 24 ans. Ce célibataire plus qu'endurci aura fort à faire pour résister devant les jolies voisines que sont Narumi, Yura ou encore sa petite sœur Rika de passage ! Bon courage !

Avec le personnage de Keisuke, Katsu Aki semble opter pour la stratégie de l'éternel recommencement, avec un nouveau personnage puceau rappelant le Makoto des débuts... le dénudage de Rika face à lui est sans doute un hommage à cette époque ou les maigres exploits du couples faisaient encore sourire... La série prendra même des atours d'un manga à la sauce Akamatsu lorsqu'on verra ce nouveau héros luttant pour donner un cours face à des lycéennes plus qu'indisciplinées et sachant abuser de leurs charmes. Cela dit, Keisuke semble un peu plus atteint que Makoto, en ayant la mauvaise habitude de se masturber frénétiquement à tout bout de champ ! L'onanisme sera d'ailleurs l'objet d'une analyse dans un des chapitres suivants, ainsi que sur la prétendue "pureté immaculée des puceaux"... L'auteur voudrait-il flatter ses lecteurs les plus fidèles dans le sens du poil ?

Le reste du volume revient quant à lui sur différents personnages que l'on avait pu oublier, comme la tentatrice Sugiyama, qui montre qu'elle aussi a droit d'avoir des histoires un peu sentimentales. On suivra aussi l'évolution, ou non, de personnages comme Mme Ichijo, de l'amour impossible de Misaki, ou encore, plus étonnant, de la sexualité de la mère de Yura. Une mère dont le corps ne semble pas du tout avoir vieilli... mais on n'est plus à une incohérence physique ou mentale près dans la série !

Quant à notre couple phare, il s'occupe comme il peut en testant des nouveaux modèles de pyjamas sexy, ou en testant des accessoires bizarres comme un siège à trous... bref, rien de bien transcendant ou de phénoménal dans ce volume, qui fait office d'un fourre-tout sans véritable cohérence. Mais au moins, quand l'auteur est en panne d'idées, cela a le mérite de ne pas avoir de scènes trop scabreuses ou ridiculement plates. Tant mieux ?


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Tianjun
10 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs