Step up love story Vol.24 - Manga

Step up love story Vol.24 : Critiques

Futari Echi

Critique du volume manga

Publiée le Jeudi, 22 Avril 2010

Attention, danger ! L'arrivée d'une nouvelle voisine vient semer la pagaille dans le couple formé par Makoto et Yura, se montrant particulièrement sensible au charme du jeune homme et n'hésitant pas à se montrer très avenante. La situation risque de dégénérer et.... quoi ? Ce résumé vous laisse une impression de déjà-vu ? C'est bien possible, mais après tout, si la série savait se renouveler, on éviterait les copiés-collés !


La nouvelle cruchotte du jour s'appelle Kaho Ichijo. Ayant du mal à se remettre de son divorce (elle se remémore souvent son ex-mari), la jeune femme se trouve également très fragile et victime de nombreux malaises, ce qui permettra à Makoto de la rattraper par... les seins. Enigmatique à souhait, cachant toujours sa bouche derrière un mouchoir, et portée sur la bouteille Kaho se retrouvera dans certains quiproquos, l'amenant à embrasser langoureusement notre benêt préféré, voire à le masturber... Amenant ainsi des sous-entendus pesants face à Yura qui devient peu à peu une de ses amies ! Ne cherchez plus, nous avons notre nouvelle challenger, l'auteur venant à oublier toutes les précédentes d'un seul coup. Même Misaki, qui dans les derniers épisodes prenait beaucoup de place (c'est peu de le dire), est ici reléguée au rang de simple spectatrice dépitée. 


Les personnages changent mais les situations sont identiques : l'adultère est toujours aussi suggéré, Makoto va toujours plus loin sans jamais aller au bout, du moins hors de ses fantasmes. De son côté, Yura, championne des cruchottes en titre, trouve les réactions de son mari très louches (alors qu'il y a pourtant des évidences qui ne trompent pas) et finit par devenir même insupportable dans son désir louable, mais tournant à l'obsession, d'avoir un enfant. Réveille-toi, pauvre Yura, l'auteur ne te mettra jamais enceinte, cela tuerait sa série, voyons !


Et le didactique dans tout ça ? Toujours plus inexistant, hormis une ouverture sur le bondage, par le couple Rika/Yamada toujours aussi déluré. Katsu Aki ne pense plus qu'à ses histoires de tromperie, à mettre son héros dans des situations aussi improbables que ridicules, et à présenter des personnages toujours plus ratés et grossiers. 


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Tianjun
8 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs