Step up love story Vol.21 - Actualité manga
Step up love story Vol.21 - Manga

Step up love story Vol.21 : Critiques

Futari Echi

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 09 Février 2010

Les tomes de Step Up se suivent et, malheureusement, continuent de se ressembler. Après une vingtaine de tomes de bons et loyaux services (ou non), l’auteur décide enfin à aborder un thème des plus classiques, dont on s’étonne finalement qu’il n’en ait point encore parlé : le fantasme des gros seins ! Et pour cela, il met le paquet, en présentant Misaki Manaka, nouvelle réceptionniste du bureau ou travaille Makoto, et arborant un bonnet I. Affublez-la d’une naïveté proportionnelle au volume de ses pis, et voici la nouvelle cruche amoureuse de Makoto, en place pour au moins une dizaine de tomes, suppléant toutes les précédentes !

L’auteur n’y va donc pas de main morte avec la demoiselle, la prenant au piège dans un ascenseur bourrée de mâles ou se baladant en sous-vêtement au milieu du bureau, sans le faire vraiment exprès. Mais après tout ce que Katsu Aki nous a montré, on ne s’étonne même plus de la facilité dont il fait preuve. Au moins, Misaki a le mérite de ne pas donner de faux espoirs aux lecteurs : en ayant un caractère déjà ridicule à la base, elle ne peut pas tomber plus bas… en théorie…

Ainsi, Makoto est à la fois cerné au bureau et dans sa résidence, où ses voisines sont toujours aussi légères. Face à autant de rivales, Yura doit mettre le paquet et n’hésite pas à noyer son chagrin dans l’alcool… à moins que ce soit son idiot de mari qui la force à boire pour décupler ses instincts sexuels. La vision du couple de propose l’auteur n’a jamais été aussi néfaste, heureusement qu’il faut prendre cela au moins au second degré.

Noyé devant tant de poitrines opulentes, on ne saura retenir un quelconque intérêt didactique dans ce tome. Un chapitre annonce pourtant la couleur en voulant présenter de nouvelles positions, mais n’a pas le même impact que dans certains volumes, si ce n’est de voir une Yura complètement désarticulée par son mari. Il n’y a décidément plus rien à sauver dans cette série, le lecteur ne sachant plus à quel «sein» se vouer !


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Tianjun
8 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs