Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 23 Octobre 2009
Yura a décidé à la dernière minute d’accompagner son mari lors de son voyage d’affaires, ne pouvant se séparer aussi longtemps de lui ! On découvre ainsi quelques villes comme Kyoto, Osaka ou Kobe et leurs caractéristiques. Mais ce sera surtout l’occasion pour l’auteur de mettre en scène son héroïne en tenue de… Geisha ! Outre ce fan-service assumé et qui n’apporte pas grand-chose, ce tome oscille entre le bon, le mauvais… et le très mauvais ! Comme d’habitude, les chapitres se suivent et ne se ressemblent pas, mis à part bien évidemment sur leur conclusion…
Dans un premier temps, on pourra apprécier le côté fusionnel et amoureux du couple, déjà bien présent dans le tome précédent. La mièvrerie habituelle mise de côté, leur attachement reste intéressant à suivre, lorsque l’on voit Yura hésiter à rentrer chez elle et retourner à son quotidien, ou rester soudée à son mari même si elle n’a rien à faire d’autre. Le côté touristique est également le bienvenu, surtout pour le lecteur occidental. Il est cependant dommage que l’auteur ne fasse que survoler le thème. D’ailleurs, c’est un peu le même traitement qui est fait pour la plupart des sujets abordés dans le tome ! Si certains se révèlent anecdotique et peu convaincants (le « sexercice »), d’autres sont plus intéressant, comme le Viagra et ses effets chez l’homme mais aussi chez la femme ! Enfin, si le sujet des maladies sexuellement transmissibles est évoqué, il aurait nécessité d’avantage d’investissement. L’auteur n’opte pas forcément pour la meilleure des solutions en passant par l’humour pour en parler. Il se dédouane avec une liste des diverses infections, mais qui apparaît alors lourdement rébarbative.
Enfin, quelques chapitres tournent une nouvelle fois au gratuit, Makoto passant une nouvelle fois pour une vraie tête à claques ! Entre le passage ou il joue à l’homme invisible, et un autre ou il retrouve une fille du lycée devenue très canon (bien sur !) et qui était éperdument amoureuse de lui (bien sur !) sans que lui ne s’en rende compte (bieeen sur !!!), Makoto remporte définitivement la palme du boulet intégral. Avec sa femme Yura, ils se sont vraiment bien trouvés ! Bref, au final, ce tome s’avère être véritablement en dent de scie, et s’il contient de bonnes idées, celles-ci s’avèrent n’être pas suffisamment exploitées. L’auteur aurait-il finalement montré ses limites, malgré un bon réveil au tome précédent ?
Affaire à suivre… ou pas.
Dans un premier temps, on pourra apprécier le côté fusionnel et amoureux du couple, déjà bien présent dans le tome précédent. La mièvrerie habituelle mise de côté, leur attachement reste intéressant à suivre, lorsque l’on voit Yura hésiter à rentrer chez elle et retourner à son quotidien, ou rester soudée à son mari même si elle n’a rien à faire d’autre. Le côté touristique est également le bienvenu, surtout pour le lecteur occidental. Il est cependant dommage que l’auteur ne fasse que survoler le thème. D’ailleurs, c’est un peu le même traitement qui est fait pour la plupart des sujets abordés dans le tome ! Si certains se révèlent anecdotique et peu convaincants (le « sexercice »), d’autres sont plus intéressant, comme le Viagra et ses effets chez l’homme mais aussi chez la femme ! Enfin, si le sujet des maladies sexuellement transmissibles est évoqué, il aurait nécessité d’avantage d’investissement. L’auteur n’opte pas forcément pour la meilleure des solutions en passant par l’humour pour en parler. Il se dédouane avec une liste des diverses infections, mais qui apparaît alors lourdement rébarbative.
Enfin, quelques chapitres tournent une nouvelle fois au gratuit, Makoto passant une nouvelle fois pour une vraie tête à claques ! Entre le passage ou il joue à l’homme invisible, et un autre ou il retrouve une fille du lycée devenue très canon (bien sur !) et qui était éperdument amoureuse de lui (bien sur !) sans que lui ne s’en rende compte (bieeen sur !!!), Makoto remporte définitivement la palme du boulet intégral. Avec sa femme Yura, ils se sont vraiment bien trouvés ! Bref, au final, ce tome s’avère être véritablement en dent de scie, et s’il contient de bonnes idées, celles-ci s’avèrent n’être pas suffisamment exploitées. L’auteur aurait-il finalement montré ses limites, malgré un bon réveil au tome précédent ?
Affaire à suivre… ou pas.
13/12/2017 