Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 10 Mai 2018
Alors qu'ils étaient enfin capturés, Kinrei invoque un arbre de pierre empoisonné pendant que le Prince se charge de dessécher les arbres d'éternité transformés, cela dans le but de faire s'effondrer tout ce qu'ils maintiennent. Une course contre la montre s'engage, chacun puisant dans ses réserves, comme pour ne rien regretter. A la surface, aucun ne peut savoir quelle sera l'issue du combat, jusqu'à voir fleurir cet arbre qui passe du rouge foncé à l'argent. Kazuhi s'effondre peu après, désemparé par ce qu'il voit au fond du ravin. C'est alors que la sanome apparaît pour accomplir un miracle.
Ultime volume de Silver Diamond, ce tome 27 clôt en beauté cette série. Sugiura Shiho en profite pour révéler les origines de Hoshiminokoto, et rappeler aussi que bien que toute cette histoire se base sur ses plans, il n'en reste pas moins qu'une création peut prendre parfois un chemin qui va à l'encontre des décisions de « son maître ». C'est d'ailleurs ce qui est souvent souligné par des auteurs, et la mangaka ne cache pas qu'elle a parfois perdu le contrôle de ses personnages.
Il en reste qu'elle a très bien fait de conserver cette histoire qu'elle avait imaginée au lycée pour en faire ce manga. Elle réussit même par la manière dont se déroule le récit, par son découpage, les actions de chacun des personnages, les descriptions, à donner des couleurs à ce monde malgré l'absence de colorisation.
Les derniers bonus s'intéressent pour l'un à la naissance de Koh et à sa rencontre avec Narushige, et pour l'autre à la vie de tous sous forme de séquelle.
A regretter dans cette édition la présence systématique de coquilles ou de changements d'orthographe de certains noms (comme Rika/Rikka) dans chaque volume. Ainsi que le choix de ne pas sortir le spin-off, Silver Diamond Gaiden, auquel fait référence l'auteure dans une de ses apartés. Une sortie qui aurait donné la possibilité aux lecteurs de véritablement terminer la série.
Ultime volume de Silver Diamond, ce tome 27 clôt en beauté cette série. Sugiura Shiho en profite pour révéler les origines de Hoshiminokoto, et rappeler aussi que bien que toute cette histoire se base sur ses plans, il n'en reste pas moins qu'une création peut prendre parfois un chemin qui va à l'encontre des décisions de « son maître ». C'est d'ailleurs ce qui est souvent souligné par des auteurs, et la mangaka ne cache pas qu'elle a parfois perdu le contrôle de ses personnages.
Il en reste qu'elle a très bien fait de conserver cette histoire qu'elle avait imaginée au lycée pour en faire ce manga. Elle réussit même par la manière dont se déroule le récit, par son découpage, les actions de chacun des personnages, les descriptions, à donner des couleurs à ce monde malgré l'absence de colorisation.
Les derniers bonus s'intéressent pour l'un à la naissance de Koh et à sa rencontre avec Narushige, et pour l'autre à la vie de tous sous forme de séquelle.
A regretter dans cette édition la présence systématique de coquilles ou de changements d'orthographe de certains noms (comme Rika/Rikka) dans chaque volume. Ainsi que le choix de ne pas sortir le spin-off, Silver Diamond Gaiden, auquel fait référence l'auteure dans une de ses apartés. Une sortie qui aurait donné la possibilité aux lecteurs de véritablement terminer la série.