Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 30 Avril 2020
« Il y a des trucs comme ça, vraiment pas faciles à expliquer simplement… »
Au programme de ce quatorzième volume longtemps attendu, des révélations de taille, des trahisons mises au jour, et l’apparition de nouveaux personnages hauts en couleur. Parmi ceux-ci, on rencontre le maître de la gourmandise, un parrain de la mafia italienne très impressionnable et ses acolytes. Tanaka Strike en profite d’ailleurs pour mettre en scène avec humour les différences culturelles entre l’Italie et le Japon. Tsubaki, qui semble avoir gagné en puissance, fait enfin son grand retour et ses projets et motivations deviennent plus concrets. L’identité du père de Mahiru est révélée, mais son oncle garde encore un secret de taille… aura-t-il l’occasion de le lui confier ?
L’effondrement du C-3 et les situations qui en ont découlé ont été bénéfiques : les personnages ont évolué, les rapports entre eux se sont réajustés et l’univers développé par Tanaka Strike n’en devient que plus riche. Ces petits changements sont illustrés simplement, par de simples paroles ou par des gestes. On passe enfin à autre chose, ce qu’on apprécie car cette partie dédiée au C-3, depuis l’évasion des secondes classes du servamp de la colère qui a provoqué le point de rupture, s’est tout de même étirée sur quatre tomes.
« Et toi, Gear… tu as plusieurs vies ? »
Mais le plus intrigant reste un des chapitres, court mais efficace, qui dénote avec le reste du tome. En effet, il est consacré à un personnage mystérieux, Gear, que l'on voit pour la première fois et qui semble lié au destin des servamps et notamment à Kuro. Que ce soit au niveau des dialogues ou du décor, le mangaka met en place une atmosphère particulière et des indices (comme la photo) qui attisent la curiosité et l’intérêt. Les possibilités que laissent entrevoir la possible identité de ce Gear et son rôle pourraient apporter encore plus de piment à l’intrigue principale.
L’intensité monte graduellement tout au long de ce tome très bien équilibré. Le calme bien mérité ne dure pas longtemps, et le retournement de situation principal plonge à nouveau nos héros dans le désarroi. On retrouve avec plaisir des personnages absents depuis quelques temps, comme Tetsu et Misono. Le plus dur sera d’attendre la suite !
Au programme de ce quatorzième volume longtemps attendu, des révélations de taille, des trahisons mises au jour, et l’apparition de nouveaux personnages hauts en couleur. Parmi ceux-ci, on rencontre le maître de la gourmandise, un parrain de la mafia italienne très impressionnable et ses acolytes. Tanaka Strike en profite d’ailleurs pour mettre en scène avec humour les différences culturelles entre l’Italie et le Japon. Tsubaki, qui semble avoir gagné en puissance, fait enfin son grand retour et ses projets et motivations deviennent plus concrets. L’identité du père de Mahiru est révélée, mais son oncle garde encore un secret de taille… aura-t-il l’occasion de le lui confier ?
L’effondrement du C-3 et les situations qui en ont découlé ont été bénéfiques : les personnages ont évolué, les rapports entre eux se sont réajustés et l’univers développé par Tanaka Strike n’en devient que plus riche. Ces petits changements sont illustrés simplement, par de simples paroles ou par des gestes. On passe enfin à autre chose, ce qu’on apprécie car cette partie dédiée au C-3, depuis l’évasion des secondes classes du servamp de la colère qui a provoqué le point de rupture, s’est tout de même étirée sur quatre tomes.
« Et toi, Gear… tu as plusieurs vies ? »
Mais le plus intrigant reste un des chapitres, court mais efficace, qui dénote avec le reste du tome. En effet, il est consacré à un personnage mystérieux, Gear, que l'on voit pour la première fois et qui semble lié au destin des servamps et notamment à Kuro. Que ce soit au niveau des dialogues ou du décor, le mangaka met en place une atmosphère particulière et des indices (comme la photo) qui attisent la curiosité et l’intérêt. Les possibilités que laissent entrevoir la possible identité de ce Gear et son rôle pourraient apporter encore plus de piment à l’intrigue principale.
L’intensité monte graduellement tout au long de ce tome très bien équilibré. Le calme bien mérité ne dure pas longtemps, et le retournement de situation principal plonge à nouveau nos héros dans le désarroi. On retrouve avec plaisir des personnages absents depuis quelques temps, comme Tetsu et Misono. Le plus dur sera d’attendre la suite !
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