Sekaiichi Hatsukoi Vol.3 : Critiques

Le monde du travail est dur et Ritsu est confronté à tous les obstacles que rencontre un chargé de suivi éditorial. Tout fraîchement nommé, le voilà essuyer beaucoup de difficulté avec le retard des auteurs  et surtout le manque de coopération de ses autres collègues.  Mais Takano a toujours un œil sur lui et à sa manière lui vient en aide. Alors quand le premier manga de Ritsu est retiré, ce sera l’occasion pour Takano de lui proposer d’aller fêter cela en petit comité…

Ritsu continue à évoluer dans le monde de l’édition et il a nouveau l’occasion de pouvoir montrer de quoi il est capable en étant nommé chargé de suivi éditorial du magazine. Mais rien ne se passe comme il aurait aimé. A nouveau son manque d’expérience lui fait défaut. Cependant sa force de caractère et sa bonne volonté portent ses fruits. Parallèlement à sa vie professionnelle, sa vie sentimentale n’est pas en reste. Sa relation avec Takano prend une tournure inattendue surtout avec quelques verres d’alcool dans le sang. Et c’est un déroulement classique et décevant qu’emprunte Shungiku Nakamura. C’est sur quand on est bourré, nous ne sommes plus capable ni de repousser les avances de l’autre ni se défendre lors d’un rapport intime forcé… Et le summum la classique perte de mémoire !

Ce troisième volume sera l’occasion pour l’auteur d’introduire un nouveau couple avec le cas de Shôta Kisa, éditeur également au sein du magazine.  Shôta Kisa n’a pas une bonne estime de soi et n’est jamais tombé amoureux car il ne s’intéresse qu’au physique.  Cependant, régulièrement il se rend toujours dans la même librairie car un beau jeune homme y travaille et il en est charmé. Il se trouve que le jeune homme est le responsable du rayon shojo de la librairie. Le destin fera que leurs routes se croiseront et Shungiku Nakamura nous emmènera dans une histoire sentimentale douce avec des pointes d’humour.

Ce troisième tome est en demi-teinte avec la suite du cas de Ritsu qui déçoit énormément avec la scène du rapport intime forcé. Heureusement que le cas de Shôta Kisa nous fera oublier notre déception avec des sentiments plus sincères.