Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 31 Juillet 2008
Raulès, enfin libéré des griffes de Berk, est blessé en voulant porter secours à Hilda. Mais très vite, il se retrouve face au terrible Zardy, son ennemi de toujours. Un terrible combat s'engage, et quand Tetius s'en mêle, l'issue en devient inattendue et dramatique. Puis, un chapitre annexe prenant la moitié de ce cinquième volume nous invite à faire un bond en arrière, et nous permet de découvrir le passé de Raulès. Dès lors, le lecteur cerne un peu mieux la personnalité du Duc des Enfers.
La lecture de Seimaden reste toujours aussi laborieuse, et paradoxalement, plutôt intéressante. L'histoire suit son cours, les rebondissements sont nombreux, mais ceux-ci sont assez mal amenés, et les scènes d'action restent trop confuses pour réussir à convaincre totalement. Signalons également que le manga de You Higuri, comme on pouvait s'y attendre, tourne de plus en plus vers le shonen-ai, avec la déclaration pure et simple de Zardy à l'un des autres protagonistes masculins. Les passages de ce genre pourront rebuter certains lecteurs, tout comme ils pourront plaire à d'autres. En ce qui me concerne, je ferais plutôt partie de la deuxième catégorie, si le tout n'était pas aussi mal amené.
Car, au final, la narration abrupte et bancale est, sans doute, bel et bien l'un des gros points faibles de Seimaden. Dommage, car à côté de ça, l'histoire reste toujours aussi intéressante.
La lecture de Seimaden reste toujours aussi laborieuse, et paradoxalement, plutôt intéressante. L'histoire suit son cours, les rebondissements sont nombreux, mais ceux-ci sont assez mal amenés, et les scènes d'action restent trop confuses pour réussir à convaincre totalement. Signalons également que le manga de You Higuri, comme on pouvait s'y attendre, tourne de plus en plus vers le shonen-ai, avec la déclaration pure et simple de Zardy à l'un des autres protagonistes masculins. Les passages de ce genre pourront rebuter certains lecteurs, tout comme ils pourront plaire à d'autres. En ce qui me concerne, je ferais plutôt partie de la deuxième catégorie, si le tout n'était pas aussi mal amené.
Car, au final, la narration abrupte et bancale est, sans doute, bel et bien l'un des gros points faibles de Seimaden. Dommage, car à côté de ça, l'histoire reste toujours aussi intéressante.