Rules Vol.2 - Actualité manga

Rules Vol.2 : Critiques

Rules

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 10 Septembre 2012

uki et Hikaru vivent presque un amour parfait, ils sont ensemble, ils s’aiment et s’entendent bien au lit. A n’en pas douter, ils sont fait l’un pour l’autre. Mais, alors qu’Hikaru s’absente quelques jours, les choses se complexifient. Atori n’est pas vraiment sur de ce qu’il ressent pour un Yuki qui est toujours amoureux de lui. Il est attiré par lui mais est-ce de la curiosité ou réellement de l’envie ? N’en sachant pas vraiment plus, il se laisse aller à quelque chose qui va compromettre leur amitié de façon durable … Jusqu’à ce que Atori mette les choses au clair, lui qui croit maintenant être amoureux de Yuki. Ce dernier doit aussi faire le point et se décider entre les deux hommes de sa vie. Mais les choses évoluent finalement naturellement quand Hikaru fait se rencontrer Atori et Toru. Le jeune homme aux cheveux longs est bien conscient que son Yuki peut lui échapper à cause d’Atori, mais il n’avait pourtant pas prévu que les choses se passeraient comme ça avec Toru. Parce que oui, Toru et Atori vont cocher ensemble, d’abord pour voir si ce dernier est gay ou pas …

Et puis les choses évoluent, Toru finissant par marquer Atori de sa marque, comme s’il souhaitait le posséder, l’enchainer à lui. Ce personnage est tiré d’une autre de ses œuvres, la première sortie en France, Lovers and Souls. Il n’est pas rare que l’auteur fasse ainsi du cross over mais c’est d’autant plus agréable de retrouver ce personnage qu’il nous avait marqué à l’époque, et cela lui donne ici une profondeur qu’on ne soupçonne pas forcément. Mais encore une fois, le ton est sombre, les destins tristes … Et tout le monde parait un peu trop déprimé, même l’amour a un goût amer et difficile. A croire que le bonheur n’existe que de manière très relative chez cette mangaka … Mais c’est incontestable, la lecture est très agréable et on aime beaucoup ces deux couples qui se forment plus par opportunité qu’autre chose mais qui finalement ne peuvent pas ne pas exister.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
NiDNiM
16 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs