Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 16 Mars 2020
L’affrontement entre les Woodville et le duc de Gloucester est à son paroxysme. Et alors que la reine Élisabeth décide de se servir d’Hastings pour arriver à ses fins, la loyauté de Catesby est mise à rude épreuve. A qui doit-il jurer allégeance ?
Je me demande sincèrement quand Richard se débarrassera de sa mère. Car c’est bien à cause d’elle que Richard a perdu de nombreuses occasions de prendre un autre chemin. Elle aurait pu lui donner de l’amour, elle aurait pu s’abstenir de se mettre entre Henri et Richard. Bref, cette femme est un cancer, et c’est bien la seule que je ne regretterais pas. Comme la reine Elisabeth d'ailleurs...
En revanche, en début de tome, on revoit le temps de quelques pages la reine Marguerite d'Anjou. Celle-ci a pris un sacré coup de vieux, mais surtout, elle ne veut plus détester qui que ce soit. Et refuse la proposition d'une personne masquée qui lui propose de se venger. Qui était-ce ? Est-ce une menace pour Richard ? L'avenir nous le dira...
En tout cas, on est toujours aussi sidérée de voir les gens retourner leur veste en moins de deux secondes, pour les beaux yeux d'une jolie femme. Je sais que certains pourront trouver ça un peu facile scénaristiquement (et ce n'est pas faux) mais ça ne m'étonnerait pas que ça rrive dans la vraie vie. Tout simplement parce que les gens croient ce qu'ils ont envie de croire, et ils entendent ce qu'ils ont envie d'entendre. C'est bien pour cela qu'il est difficile de convaincre quelqu'un qui n'est pas d'accord avec vous... Il n'empêche qu'un petit chapitre de plus aurait été appréciable pour que cela semble moins abrupte.
Notons également qu'Aya Kanno a changé sa manière de dessiner Richard depuis le début de sa liaison avec le duc de Buckingham. Il est encore plus gracile, ses formes sont mieux dessinées, notamment ses hanches, et même sa démarche est plus chaloupée. Son acceptation de soi et de ses désirs aura des conséquences, même sur son comportement, reste à savoir si cela amènera vraiment un mieux dans la vie de Richard, ou si ce n'est que le premier pas vers la folie...
Que dire... c’est encore un très bon tome que nous offre Aya Kanno. On sent que bon nombre de personnages sont au bord de la folie, et c'est peu de le dire. D'ailleurs, la couronne n'arrive pas à se trouver de véritable propriétaire à cause de cette instabilité qui secoue
Je me pense en tout cas pas mal de question sur ceux qui restent dans l’ombre depuis quelques temps, notamment la femme de Richard, Anne, son fils et surtout ses nièces, dont l’une a l’air d’être assez... démoniaque. Et qui est réellement Jane, et que cherche-t-elle à accomplir ? Beaucoup de questions sans réponse, qui, je l'espère, se résoudront par la suite.
Je me demande sincèrement quand Richard se débarrassera de sa mère. Car c’est bien à cause d’elle que Richard a perdu de nombreuses occasions de prendre un autre chemin. Elle aurait pu lui donner de l’amour, elle aurait pu s’abstenir de se mettre entre Henri et Richard. Bref, cette femme est un cancer, et c’est bien la seule que je ne regretterais pas. Comme la reine Elisabeth d'ailleurs...
En revanche, en début de tome, on revoit le temps de quelques pages la reine Marguerite d'Anjou. Celle-ci a pris un sacré coup de vieux, mais surtout, elle ne veut plus détester qui que ce soit. Et refuse la proposition d'une personne masquée qui lui propose de se venger. Qui était-ce ? Est-ce une menace pour Richard ? L'avenir nous le dira...
En tout cas, on est toujours aussi sidérée de voir les gens retourner leur veste en moins de deux secondes, pour les beaux yeux d'une jolie femme. Je sais que certains pourront trouver ça un peu facile scénaristiquement (et ce n'est pas faux) mais ça ne m'étonnerait pas que ça rrive dans la vraie vie. Tout simplement parce que les gens croient ce qu'ils ont envie de croire, et ils entendent ce qu'ils ont envie d'entendre. C'est bien pour cela qu'il est difficile de convaincre quelqu'un qui n'est pas d'accord avec vous... Il n'empêche qu'un petit chapitre de plus aurait été appréciable pour que cela semble moins abrupte.
Notons également qu'Aya Kanno a changé sa manière de dessiner Richard depuis le début de sa liaison avec le duc de Buckingham. Il est encore plus gracile, ses formes sont mieux dessinées, notamment ses hanches, et même sa démarche est plus chaloupée. Son acceptation de soi et de ses désirs aura des conséquences, même sur son comportement, reste à savoir si cela amènera vraiment un mieux dans la vie de Richard, ou si ce n'est que le premier pas vers la folie...
Que dire... c’est encore un très bon tome que nous offre Aya Kanno. On sent que bon nombre de personnages sont au bord de la folie, et c'est peu de le dire. D'ailleurs, la couronne n'arrive pas à se trouver de véritable propriétaire à cause de cette instabilité qui secoue
Je me pense en tout cas pas mal de question sur ceux qui restent dans l’ombre depuis quelques temps, notamment la femme de Richard, Anne, son fils et surtout ses nièces, dont l’une a l’air d’être assez... démoniaque. Et qui est réellement Jane, et que cherche-t-elle à accomplir ? Beaucoup de questions sans réponse, qui, je l'espère, se résoudront par la suite.
20/10/2022 