Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 08 Avril 2019
Les entraînements à répétition pour la fête du sport, les bentos du lendemain à préparer, les petits jobs qui s’accumulent, il est clair que Ririko est surbookée ! La pauvre, maintenant que Minato est complètement inscrit dans son quotidien, les heures de sommeil ou de simple répit se font de plus en plus rares. Sauf que depuis peu, Minato refuse souvent que Ririko passe chez lui le soir, bizarre. Comment se nourrit-il lorsqu’elle n’est pas là ?
Tout est très simple : Toko Minami instaure un nouveau personnage à part entière. Présente depuis le précédent volume, Estuko, la femme de ménage attitrée de la famille Suô, reste sans sembler vouloir partir. Une insistance que l’autrice rajoute au scénario puisque désormais, Etsuko et Ririko sont rivales. Les deux doivent se partager la même cuisine, les ustensiles, sans oublier la chose la plus importante : la satisfaction de Minato. A partir de là, nous entamerons des scènes de rivalités à plusieurs reprises, toujours avec et espoir que Ririko l’emporte sur l’intruse.
On jouera également avec les sentiments de Minato puisque ce dernier se fait très bien duper à une remarque de sa gouvernante. Il entre en phase de réflexion et nous le sentons perplexe. L’autrice cadre les moindre faits et gestes de Ririko jusqu’à y percer une faiblesse, l’épuisement. Exactement ce qu’elle cherche à nous transmettre ainsi qu’au fils de bonne famille pour donner l’image faible de la jeune adolescente. « Il faut qu’elle arrête de trop travailler, elle passe son temps à faire les tâches des autres sans se préoccuper d’elle-même. Le malaise est proche... ».
Une péripétie d’amitié occupera l’autre partie du tome ! Un point très positif qui, cette fois ci, embelli le volume. Towa, la meilleure amie de Ririko, nous ne l’avions pas vu depuis un moment ! En partie, cause du début de la relation des protagonistes, celle-ci, ainsi que Hata, sont à l’abandon depuis deux, trois parutions. Leur retour, accompagné de rires, pleures et d’une sortie organisée entre les deux couples, changera notre vision des choses sur Ririko. Revoilà enfin des moments intrigants !
Ce huitième volume appel en partie, à la réflexion. Plus que Minato, nous nous demandons, en tant que lecteur, si la venue d’Etsuko est une bonne idée pour l’élaboration positive des parutions. Certes elle apparaît pour son client, mais nous sommes trop souvent confrontés à elle alors qu’elle n’apporte pas vraiment le souffle d’air frais. Nous voyons qu’il s’agit là d’une sorte « d’habillage de trou », elle a été instaurée pour combler un vide qui se fait malgré ça, ressentir en grande partie. Pourquoi Toko Minami ne basculerait pas sur un approfondissement du personnage de Célina ?
Tout est très simple : Toko Minami instaure un nouveau personnage à part entière. Présente depuis le précédent volume, Estuko, la femme de ménage attitrée de la famille Suô, reste sans sembler vouloir partir. Une insistance que l’autrice rajoute au scénario puisque désormais, Etsuko et Ririko sont rivales. Les deux doivent se partager la même cuisine, les ustensiles, sans oublier la chose la plus importante : la satisfaction de Minato. A partir de là, nous entamerons des scènes de rivalités à plusieurs reprises, toujours avec et espoir que Ririko l’emporte sur l’intruse.
On jouera également avec les sentiments de Minato puisque ce dernier se fait très bien duper à une remarque de sa gouvernante. Il entre en phase de réflexion et nous le sentons perplexe. L’autrice cadre les moindre faits et gestes de Ririko jusqu’à y percer une faiblesse, l’épuisement. Exactement ce qu’elle cherche à nous transmettre ainsi qu’au fils de bonne famille pour donner l’image faible de la jeune adolescente. « Il faut qu’elle arrête de trop travailler, elle passe son temps à faire les tâches des autres sans se préoccuper d’elle-même. Le malaise est proche... ».
Une péripétie d’amitié occupera l’autre partie du tome ! Un point très positif qui, cette fois ci, embelli le volume. Towa, la meilleure amie de Ririko, nous ne l’avions pas vu depuis un moment ! En partie, cause du début de la relation des protagonistes, celle-ci, ainsi que Hata, sont à l’abandon depuis deux, trois parutions. Leur retour, accompagné de rires, pleures et d’une sortie organisée entre les deux couples, changera notre vision des choses sur Ririko. Revoilà enfin des moments intrigants !
Ce huitième volume appel en partie, à la réflexion. Plus que Minato, nous nous demandons, en tant que lecteur, si la venue d’Etsuko est une bonne idée pour l’élaboration positive des parutions. Certes elle apparaît pour son client, mais nous sommes trop souvent confrontés à elle alors qu’elle n’apporte pas vraiment le souffle d’air frais. Nous voyons qu’il s’agit là d’une sorte « d’habillage de trou », elle a été instaurée pour combler un vide qui se fait malgré ça, ressentir en grande partie. Pourquoi Toko Minami ne basculerait pas sur un approfondissement du personnage de Célina ?
Une chose dont nous sommes peu fière est sûre, ce n’est pas les meilleurs chapitre de Rere : Hello !. On a une impression néfaste qui émerge, ce fort ressenti d’avoir fait le tour complet des ressources de Minami, donc de tourner en rond. La fin est à la fois si proche mais tellement éloignée…
20/06/2018 