Racaille blues Vol.13 - Actualité manga
Racaille blues Vol.13 - Manga

Racaille blues Vol.13 : Critiques Mony, mony

Rokudenashi Blues

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 22 Mai 2017

Dans ce 13ème tome de Racaille Blues, Masanori Morita nous offrira quasi essentiellement des petits épisodes "tranche de vie" qui se focaliseront sur un ou quelques personnages en particulier.
Les histoires se dérouleront dans un cadre scolaire ou extra-scolaire, et s'apparenteront soit à des comédies romantiques, soit à des récits d'action avec de jolies bastons à la clé.

Parmi les chapitres les plus marquants, on pourra citer les péripéties amoureuses de Wajima, Ohashi et Mutoh. Ces derniers se lancent un défi débile : draguer une demoiselle dans la rue et la ramener dans un café en fin de journée. Surestimant leur sex-appeal, les trois lycéens vont aller de déception en déception et ne parviendront pas à "ferrer le poisson". Ils vont alors avoir une idée pour parvenir à leurs fins et honorer leur pari...
Dans la même veine, on peut aussi évoquer les retrouvailles de Maeda avec son père, qui va faire un court séjour à Tokyo. Ce voyage sera l'occasion pour le patriarche Maeda de sermonner ses fils, mais aussi de se mesurer à des yakuzas dangereux... On apprendra cependant très vite que même un groupe de yakuzas armés jusqu'aux dents n'est pas en mesure de faire grand-chose contre la famille Maeda au complet...

Dans la dernière partie du volume, l'auteur remettra la boxe sur le devant de la scène en faisant revenir un personnage très apprécié des fans, et qu'on avait pas vu depuis bien longtemps. Aidé par Seikichi Harada, ce personnage va essayer de redonner le moral à un Maeda victime d'un petit coup de blues, parce qu'il est partagé entre sa passion pour la boxe et ses obligations de caïd, qui l'empêchent de passer l'examen pour devenir boxeur professionnel.

Masanori Morita nous offre un tome en demi-teinte, qui manque d'intensité. Si certaines histoires courtes sont amusantes, d'autres en revanche sont longuettes et nous donnent une impression de déjà-vu. Une lecture globalement plaisante mais vite oubliée.


Note de la rédaction