Quand Takagi Me Taquine Vol.7 - Actualité manga
Quand Takagi Me Taquine Vol.7 - Manga

Quand Takagi Me Taquine Vol.7 : Critiques

Karakai Jôzu no Takagi-san

Critique du volume manga

Publiée le Vendredi, 09 Octobre 2020

Qu'on se le dise, c'est sur un petit flashback que s'ouvre ce 7e volume de Quand Takagi me taquine ! Nous voici donc revenus au jour de la rentrée de classe, alors que Takagi et Nishikata ne se connaissent pas encore. Pendant que chaque élève dont notre héroïne se présentent brièvement aux autres élèves de la classe, Nishikata, lui, trouve le moyen d'arriver en retard pour son premier jour, et donc de se faire gronder d'emblée par le professeur... mais pour quelle raison n'est-il pas arrivé à l'heure ? La réponse est vraiment plaisant, car en plus de laisser voir le bon coeur que l'on connaît déjà à Nishikata, elle scelle bien la première rencontre entre Takagi et lui, ainsi que la manière dont les incessantes taquineries ont commencé !

Puis la suite du tome revient à la recette habituelle, avec différents petits chapitres jouant chacun sur une idée. Un test d'aptitude physique, un passage à la bibliothèque puis une marche, une tentative d'hypnose, un daifuku, l'oubli du manuel scolaire... Chaque petite situation devient vite une bonne occasion pour nos deux héros de partir dans leurs habituelles petites activités à base de défis, de tentatives de piéger l'autre... et, bien sûr, de taquineries de Takagi, la mignonne chipie trouvant toujours le moyen d'avoir le dernier mot ! C'est qu'elle le connaît bien son cher Nishikata...

Cependant, au gré de certains chapitres, Soichiro Yamamoto s'offre également de bonnes occasions pour sortir des taquineries pures et simples et de ce que l'on devine en non-dit des sentiments de Takagi. On pense au chapitre sur la loterie, où chacun évoque ses rêves en cas de victoire d'une grosse somme d'argent, et où notre héroïne se fait un plaisir d'affirmer, avec sa mignonnerie habituelle, ce dont elle rêverait, ne manquant pas de déstabiliser un Nishikata rougissant. Et puis, il y a le dernier chapitre, porté par une promesse aussi timide que mimi, et nous laissant sur une Takagi plus rayonnante que jamais ainsi que sur de belles perspectives pour la suite.

La lecture de Quand Takagi me taquine est, alors, toujours aussi plaisante au fil de ces 150 nouvelles pages. Tout en restant fidèle à sa bonne petite recette, l'auteur se renouvelle suffisamment et distille avec toujours autant de malice et de charme certains petits indices sur les sentiments de ses deux jeunes personnages.
  

Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
15 20
Note de la rédaction