Quand Takagi Me Taquine Vol.10 - Actualité manga
Quand Takagi Me Taquine Vol.10 - Manga

Quand Takagi Me Taquine Vol.10 : Critiques

Karakai Jôzu no Takagi-san

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 07 Avril 2021

Après un chapitre d'introduction assez étonnant où les rôles sont en quelque sorte inversés (ce qui nous permet d'entrevoir Takagi comme jamais auparavant !), les choses classiques reprennent entre Takagi et Nishikata, pour notre plus grand plaisir.

Que ce soit en essayant de piéger Takagi via un petit jeu de lecture verticale, en l'invitant à caresser un chien dont elle semble avoir peur, en se laissant prendre à un petit jeu pour s'échanger des cookies faits en cours de cuisine, en essayant de piéger la jeune fille à l'occasion du 1er avril, en voulant prendre sa revanche au test d'évaluation sportive, au travers d'un défi à la pêche, en la poussant à essayer de deviner le contenu d'une boîte, ou en essayant de l'embarrasser en lui donnant un surnom, il y a des signes qui ne trompent pas: bien souvent, c'est désormais Nishikata qui est à l'origine des défis ! Et quand il accepte ceux lancés par Takagi, c'est toujours avec entrain... pour mieux se faire avoir ! Car évidemment, la mignonne chipie a toujours un petit coup d'avance, que ce soit grâce à sa malice/perspicacité presque improbable parfois, ou tout simplement parce qu'elle connaît trop bien ce benêt de Nishikata à force de l'observer.

Et si les situations de départ restent souvent simples avec des défis qui reposent sur trois fois rien en étant peu alambiqués, cela permet à Soichiro Yamamoto de se concentrer sur l'essentiel: son humour, sa légèreté, et, surtout,des issues où, bien souvent, il y a toujours entre nos deux personnages principaux une petite part d'ambiguïté sur ce qu'ils ressentent exactement l'un(e) pour l'autre, Takagi ayant bien souvent un don pour lâcher des petites phrases malicieuses.

Enfin, même s'ils ont déjà été un peu plus en vue par le passé, on appréciera aussi les quelques apparitions des personnages secondaires habituels, et on entreverra même un petit lien entre Kimura et Tsukimoto.

A l'arrivée, on a une petite lecture toujours aussi légère et agréable, et des situations qui continuent de se renouveler assez bien, nous permettant d'affirmer qu'en arrivant à la barre symbolique des 10 volumes, les taquineries de Takagi ne lassent toujours pas.
  

Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
15 20
Note de la rédaction