Psyren Vol.10 - Actualité manga

Psyren Vol.10 : Critiques

Sairen - Psyren

Critique du volume manga

Publiée le Vendredi, 23 Novembre 2012

Après la folie du tome précédent les choses se calment un peu dans ce volume, la pression redescend, même si on devine que c’est pour mieux repartir par la suite.

Beaucoup moins d’action dans ce tome donc (quasiment pas en fait), mais énormément de révélations ! On apprend par exemple d’ou vient Nemesis Q et quel est le but de la personne qui l’a créé.
Et après toutes ces révélations il est temps pour nos héros de quitter la version futur des enfants d’Elmore pour aller les retrouver dans le passé (où dans le présent, question de point de vue). Mais le voyage du retour se fera avec moins de passagers qu’à l’aller, deux manquent à l’appel…déchirement pour les personnages (également un peu pour les lecteurs), mais c’est surtout terriblement excitant pour le lecteur ! L’auteur nous prouve qu’il est capable de mener plusieurs évènements de front, de diviser ses personnages pour créer encore d’avantage de péripéties…on en trépigne d’impatience, en particulier pour le devenir de Oboro.

Le seul point un peu dérangeant c’est la gestion du temps entre les différents bonds dans le temps. Nos héros ont passé neuf jours dans le futur…pourquoi devraient-ils avoir été absents neuf jours dans le présent ? Pourquoi le temps devrait s’écouler de la même manière alors qu’il suffirait de les faire réapparaître quelques secondes après leur départ. Pour le moment cela ne servait pas l’histoire mais cette fois l’auteur semble vouloir se servir de cette contrainte pour ajouter de nouveaux évènements dans le présent.
Il en profite pour introduire le père de Ageha qui pour le moment ne sert pas à grand chose et semble assez étrange mais gageons qu’il aura un rôle à jouer plus tard.

Un tome moins prenant que les précédents mais qui annonce de grandes choses pour la suite qu’on attend avec une grande impatience !


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Erkael
15 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs