Princess Jellyfish Vol.6 : Critiques

Tsukimi commence enfin à réaliser l’ampleur de la démolition du quartier, et donc le devenir de la résidence Amamizu. Elle essaie de le faire réaliser aussi à ses colocataires afin de leur faire comprendre l’urgence de la situation. Et pendant que la jeune fille se fait assaillir par les compliments, même au naturel –ce qu’elle ne conçoit pas du tout-, la promotrice part en Corée du Sud. Pourquoi ? Pour convaincre la véritable propriétaire du terrain de le lui céder. Et elle utilise tous les arguments, motivant la mère d’une de nos otakus à vendre ce qui ne lui sert plus à rien. Autant dire que la situation est catastrophique et qu’il faut réagir plus que rapidement. Parce que l’expulsion leur pend au nez et qu’il est presque certain qu’elles vont se retrouver à la rue d’ici peu … Kuranosuke décide, pour sauver la résidence, de faire connaitre leurs robes … au sein même de la résidence. Donc, il faut créer des robes. Vite. Beaucoup. Autant dire qu’en deux jours cela parait presque impossible …

Heureusement, une nouvelle otaku arrive dans le petit groupe et s’emploie à créer les modèles … version miniature. C’est toujours aussi drôle de voir que les demoiselles, quelles qu’elles soient, sont totalement happées par leurs passions et sont incapables d’en sortir. L’humour est donc toujours là, et heureusement que l’amour et les relations humaines passent au second plan. C’est vraiment ce qui marche le mieux dans le manga et ce qui nous plait le plus. Ça nous manquerait. Mais l’auteur arrive à doser efficacement tous les aspects de son titre et … ça marche toujours autant. Les robes sont toujours un vrai régal, les doutes de Tsukimi aussi, mais également les particularités de toutes nos autres otakus. Un vrai moment de fraicheur dans les lectures actuelles. Malgré tout, ce tome six aurait pu développer encore d’autres points et avancer un peu plus, et pas seulement dans les relations de Tsukimi avec Kuranosuke et son frère.