Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 07 Mai 2018
Tsukimi est partie pour sauver la maison des Amars et elle se retrouve seule dans un monde qu’elle n’a jamais côtoyée. Installée à Singapour, elle est invitée à une soirée par son nouveau patron, M. Kai. Tsukimi en prend plein les yeux : building immense, splendide piscine sur le toit… Or, voilà que M. Kai vient à embrasser Tsukimi. Quelles sont ses intentions ? Pourquoi se montre-t-il aussi entreprenant ? Y a-t-il quelqu’un pour sauver Tsukimi ?
Alors que Tsukimi est partie, les Amars ne semblent pas anéanties par son absence. Elles continuent leur vie de tous les jours sans chercher à reprendre contact avec leur amie. Et même prendre soin de Clara, la petite méduse de Tsukimi, est une corvée pour elles. L’image que nous offre l’auteur des Amars est assez triste. Elles ne font preuve d’aucune initiative et elles doivent toujours être poussées par Kuranosuke. Certes, nous savons qu’elles vivent dans leur monde mais de là à ne pas se sentir plus concernées et touchées par l’absence de Tsukimi fait de la peine. Même le frère de Kuranosuke vit sur une autre planète, lui qui était parti à l’étranger pour Tsukimi, ne reprend pas contact avec elle, ne lui demande aucune nouvelle… Seul Kuranosuke semble avoir encore la tête sur les épaules pour aller secourir Tsukimi. Dans tous ces comportements étranges de la plupart des personnages, l’auteur nous perd complétement. Nous ne comprenons pas où est ce qu’elle veut emmener les lecteurs, en particulier dans l’intrigue sentimentale. Est-ce que Kuranosuke aurait une chance de conquérir le cœur de Tsukimi ? Ou bien joue-t-il seulement le rôle de protecteur ? Quant à Tsukimi, elle continue de découvrir un monde qui n’est pas le sien. Tout n’est qu’apparence, pouvoir et argent. Il est loin le monde innocent dans lequel elle vivait avec ses amies. Et surtout, ses créations émergeaient grâce à la synergie avec ses amies et non toute seule. Comment réussira-t-elle à créer sans Kuranosuke et les autres Amars ?
Les volumes défilent et même si lire les aventures de Tsukimi et des Amars reste plaisant sur certains aspects, l’auteur s’enfonce trop dans les explications sur la mode ou encore nous perd dans son scénario.
Alors que Tsukimi est partie, les Amars ne semblent pas anéanties par son absence. Elles continuent leur vie de tous les jours sans chercher à reprendre contact avec leur amie. Et même prendre soin de Clara, la petite méduse de Tsukimi, est une corvée pour elles. L’image que nous offre l’auteur des Amars est assez triste. Elles ne font preuve d’aucune initiative et elles doivent toujours être poussées par Kuranosuke. Certes, nous savons qu’elles vivent dans leur monde mais de là à ne pas se sentir plus concernées et touchées par l’absence de Tsukimi fait de la peine. Même le frère de Kuranosuke vit sur une autre planète, lui qui était parti à l’étranger pour Tsukimi, ne reprend pas contact avec elle, ne lui demande aucune nouvelle… Seul Kuranosuke semble avoir encore la tête sur les épaules pour aller secourir Tsukimi. Dans tous ces comportements étranges de la plupart des personnages, l’auteur nous perd complétement. Nous ne comprenons pas où est ce qu’elle veut emmener les lecteurs, en particulier dans l’intrigue sentimentale. Est-ce que Kuranosuke aurait une chance de conquérir le cœur de Tsukimi ? Ou bien joue-t-il seulement le rôle de protecteur ? Quant à Tsukimi, elle continue de découvrir un monde qui n’est pas le sien. Tout n’est qu’apparence, pouvoir et argent. Il est loin le monde innocent dans lequel elle vivait avec ses amies. Et surtout, ses créations émergeaient grâce à la synergie avec ses amies et non toute seule. Comment réussira-t-elle à créer sans Kuranosuke et les autres Amars ?
Les volumes défilent et même si lire les aventures de Tsukimi et des Amars reste plaisant sur certains aspects, l’auteur s’enfonce trop dans les explications sur la mode ou encore nous perd dans son scénario.
03/07/2019 