Princess Jellyfish Vol.10 : Critiques

Les premières créations des Amars sont enfin envoyées chez les clients impatients. La marque est lancée, et Kuranosuke croit dur comme fer que cela va marcher, que tout est déjà sûr et certainement réussi. Au niveau de la marque, le jeune homme va décider de créer une ligne casual, abordable et mettable même par les Amars. Une ligne de vêtements toujours inspirée des méduses, mais abordables, qui se vendront bien. Le problème ? Leur coût de production n’est pas assez bas pour se permettre un prix de vente faible. Et donc, si c’est trop cher, cela ne se vendra pas. Jellyfish et ses employées sont dans une situation délicate, et même si Kuranosuke refuse d’abandonner aussi facilement, les choses se profilent assez mal pour nos Amars, surtout que la vente de la résidence parait imminente, et ce sans solution de repli. Une vision réellement intéressante sur la réalité du marché de la mode, grâce à notre indienne préférée, et sur l’avenir de ces filles sans travail.

Parallèlement, l’histoire d’amour de Tsukimi explose ! Elle reçoit une lettre d’amour où le frère de Kuranosuke la demande presque en mariage ! Toujours est-il qu’ils sortent ensemble à présent, et que Shû la traine pour manger ensemble, et dit à qui veut l’entendre qu’ils sont dans une relation les amenant vers le mariage. Tsukimi panique un peu, mais les Amars décident de la sacrifier comme un bon appât, et tant mieux si ça peut servie leurs intérêts. Kuranosuke de son côté décide d’être le gentil sorcier et de laisser les deux amoureux vivre leur histoire. Il ne fera que les regarder et les encourager de loin. Un tome réussi surtout au niveau des émotions et de l’avancée des Amars dans leur lutte pour conserver la résidence.