Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 26 Décembre 2022
Les rencontres avec les divinités se suivent et ne se ressemblent pas ! On commence par un remake de « chéri j'ai rétréci les gosses », puis on enchaîne avec un délire de vortex avant d'enchaîner avec une rencontre du troisième type... Hum, sommes nous toujours dans le Japon ancestral ?
Encore un très bon tome, même si je le trouve un peu moins bon que le précédent. Les changements de tons sont parfois un peu trop brutaux. En revanche, on commence enfin à en savoir plus sur En no Ozuno, le maître de nos chers Miyo et Zen . On commence enfin à avoir des réponses sur les raisons de son périple, même si les circonstances semblent encore brumeuses. Qu'est-il arrivé à sa divinité favorite ? Pourquoi avoir entamé ce voyage ? Pour devenir un éternel ? Qu'est-ce que cela veut dire ? On voit en tout cas sa rencontre avec Zen, qui est d'une tristesse infinie (on a le droit en bonus à une petite case très « Attaque des titans »). Puis on voit la personne qui a remis En no Ozuno et Zen sur le bon chemin, tandis que la fin du tome nous fait rencontrer la mère du jeune ascète. Sa rencontre est surprenante, tout comme les raisons de son apparence assez étonnante.
Les petits points faibles dans ce tome, ce sont finalement les divinités, qui sont un peu moins charismatiques que celles que nous avons déjà vues. Celle aux tambourins est assez inutile pendant une bonne partie du chapitre, tandis que celle qui est la cause du brouillard et des mirages est juste... Ridicule. En revanche, la rencontre avec ses « parents » est elle, ultra stylée.
En tout cas, malgré les quelques faiblesses de ce troisième tome, la série reste toujours très intrigante. Son originalité et ses personnages sont sa force. Tout comme ce dessin qui semble pouvoir servir tous les genres. À voir par la suite comment tout va se développer. Et ce que Kenji Tsurubuchi va encore nous inventer.
Encore un très bon tome, même si je le trouve un peu moins bon que le précédent. Les changements de tons sont parfois un peu trop brutaux. En revanche, on commence enfin à en savoir plus sur En no Ozuno, le maître de nos chers Miyo et Zen . On commence enfin à avoir des réponses sur les raisons de son périple, même si les circonstances semblent encore brumeuses. Qu'est-il arrivé à sa divinité favorite ? Pourquoi avoir entamé ce voyage ? Pour devenir un éternel ? Qu'est-ce que cela veut dire ? On voit en tout cas sa rencontre avec Zen, qui est d'une tristesse infinie (on a le droit en bonus à une petite case très « Attaque des titans »). Puis on voit la personne qui a remis En no Ozuno et Zen sur le bon chemin, tandis que la fin du tome nous fait rencontrer la mère du jeune ascète. Sa rencontre est surprenante, tout comme les raisons de son apparence assez étonnante.
Les petits points faibles dans ce tome, ce sont finalement les divinités, qui sont un peu moins charismatiques que celles que nous avons déjà vues. Celle aux tambourins est assez inutile pendant une bonne partie du chapitre, tandis que celle qui est la cause du brouillard et des mirages est juste... Ridicule. En revanche, la rencontre avec ses « parents » est elle, ultra stylée.
En tout cas, malgré les quelques faiblesses de ce troisième tome, la série reste toujours très intrigante. Son originalité et ses personnages sont sa force. Tout comme ce dessin qui semble pouvoir servir tous les genres. À voir par la suite comment tout va se développer. Et ce que Kenji Tsurubuchi va encore nous inventer.