Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 11 Août 2016
Alors que le deuxième tour du Guns of Domination bat son plein, la surprise est totale pour les derniers rescapés quand apparaît soudainement Cole Emerson... d'autant que ce dernier énonce un changement dans les règles !
Ryoji Minagawa nous offre un début de tome sans la moindre surprise, avant que l'apparition de Cole Emerson ne vienne redistribuer un peu les cartes. Le nouveau schéma qui se met en place dans ce Guns of Domination part sur des bases tout aussi linéaires qu'auparavant, mais ce n'est clairement pas ce qui est le plus intéressant ici, puisqu'on en découvre enfin plus sur Cole Emerson, et que cela offre au personnage une dimension assez différente. Il était plus que temps que cet antagoniste aussi mystérieux que charismatique soit mieux détaillé, et même si cela reste assez basique pour le moment, le résultat est là et relance un tant soit peu l'intérêt de ce qui s'annonce comme la dernière ligne droite de l'oeuvre. On attend donc avec une certaine curiosité la suite !
Pour le reste, le style de Minagawa reste toujours aussi efficace dans ses moment les plus denses et dans ses quelques montées d'intensité, tout comme sa narration régulièrement pataude et lisse peut faire retomber un peu les choses.
Ryoji Minagawa nous offre un début de tome sans la moindre surprise, avant que l'apparition de Cole Emerson ne vienne redistribuer un peu les cartes. Le nouveau schéma qui se met en place dans ce Guns of Domination part sur des bases tout aussi linéaires qu'auparavant, mais ce n'est clairement pas ce qui est le plus intéressant ici, puisqu'on en découvre enfin plus sur Cole Emerson, et que cela offre au personnage une dimension assez différente. Il était plus que temps que cet antagoniste aussi mystérieux que charismatique soit mieux détaillé, et même si cela reste assez basique pour le moment, le résultat est là et relance un tant soit peu l'intérêt de ce qui s'annonce comme la dernière ligne droite de l'oeuvre. On attend donc avec une certaine curiosité la suite !
Pour le reste, le style de Minagawa reste toujours aussi efficace dans ses moment les plus denses et dans ses quelques montées d'intensité, tout comme sa narration régulièrement pataude et lisse peut faire retomber un peu les choses.