Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 06 Août 2015
Avant que Mizuki et les garçons l’accompagnant ne puissent penser à toute possibilité de mannequinat, ils devront se confronter à un professeur-surveillant beaucoup trop intransigeant. Ainsi, Nakatsu se retrouve à devenir le bouc-émissaire de ce professeur fort sévère, après qu’il ait été accusé de tricherie par celui-ci lors d’un examen. Le pauvre garçon se retrouve alors face à un dur dilemme. Soit il fait des aveux, soit il ne pourra pas participer au championnat national de football avec son équipe.
Pour une fois, on aura du mal à être réceptif à une histoire de Parmi eux. Les choses nous paraîtront d’entrée de jeu excessives et assez peu crédibles. Il est vrai que tout shojo est une fiction mais, jusqu’ici, l’auteure avait réussi à être un tant soit peu plausible. Non pas que l’histoire en tant que tel ne soit pas envisageable, mais tout simplement parce que la conclusion et l’exploitation de l’épisode ne convainquent pas. Tout d’abord, la mangaka enchaîne les coups émotionnels et tragiques de manière exagérée. Ensuite, une fois la problématique posée, on voit apparaître la confrérie des cerisiers, sortie d’un peu nulle part, composée des trois chefs de dortoir, prêts à régler un en coup de main le problème. Il aura ainsi suffi à certains de découvrir le passé du professeur pour pouvoir régler en deux temps trois mouvements la situation. Pourquoi en faire autant si c’est pour voir la problématique être réglée en un temps record ? On en ressort dès lors des plus déçus, ne voyant finalement pas trop l’intérêt d’une telle péripétie. Et, hélas pour nous, cela concerne le trois quart du volume…
On pourra par la suite nous consoler avec le retour de l’histoire tant attendue concernant le mannequinat. Nos héros pourront cette fois toucher de près à cet univers quelque peu particulier par l’intermédiaire d’un photographe pas du tout comme les autres, M. Akiha. Il se révèlera être aussi attachant qu’original et mystérieux. D’autant plus que la découverte du monde de la photographie et du mannequinat sera des plus intéressantes et très bien amenées. En outre, Mizuki, Nanba, Sano et Nakatsu pourront faire parler leur originalité et leur beauté à travers l’objectif de M. Akiha.
On se retrouve dès lors avec un opus des plus mitigés. Le trois quart du tome nous propose une anecdote aux émotions bien trop accentuées et un final exploité de façon trop rapide et expéditive. Heureusement pour nous, le volume sera en grande partie rattrapé par une seconde trame bien plus intrigante et aboutie.
Pour une fois, on aura du mal à être réceptif à une histoire de Parmi eux. Les choses nous paraîtront d’entrée de jeu excessives et assez peu crédibles. Il est vrai que tout shojo est une fiction mais, jusqu’ici, l’auteure avait réussi à être un tant soit peu plausible. Non pas que l’histoire en tant que tel ne soit pas envisageable, mais tout simplement parce que la conclusion et l’exploitation de l’épisode ne convainquent pas. Tout d’abord, la mangaka enchaîne les coups émotionnels et tragiques de manière exagérée. Ensuite, une fois la problématique posée, on voit apparaître la confrérie des cerisiers, sortie d’un peu nulle part, composée des trois chefs de dortoir, prêts à régler un en coup de main le problème. Il aura ainsi suffi à certains de découvrir le passé du professeur pour pouvoir régler en deux temps trois mouvements la situation. Pourquoi en faire autant si c’est pour voir la problématique être réglée en un temps record ? On en ressort dès lors des plus déçus, ne voyant finalement pas trop l’intérêt d’une telle péripétie. Et, hélas pour nous, cela concerne le trois quart du volume…
On pourra par la suite nous consoler avec le retour de l’histoire tant attendue concernant le mannequinat. Nos héros pourront cette fois toucher de près à cet univers quelque peu particulier par l’intermédiaire d’un photographe pas du tout comme les autres, M. Akiha. Il se révèlera être aussi attachant qu’original et mystérieux. D’autant plus que la découverte du monde de la photographie et du mannequinat sera des plus intéressantes et très bien amenées. En outre, Mizuki, Nanba, Sano et Nakatsu pourront faire parler leur originalité et leur beauté à travers l’objectif de M. Akiha.
On se retrouve dès lors avec un opus des plus mitigés. Le trois quart du tome nous propose une anecdote aux émotions bien trop accentuées et un final exploité de façon trop rapide et expéditive. Heureusement pour nous, le volume sera en grande partie rattrapé par une seconde trame bien plus intrigante et aboutie.
10/04/2019 