Parmi eux - Hanakimi Vol.11 : Critiques

Une fois tous les trois ans, le traditionnel bal de Noël a lieu entre les lycées Osaka et St Blossom. C’est dès lors l’occasion pour que les filles et les garçons se rencontrent pour ainsi peut-être trouver son partenaire du bal. On pourrait ainsi croire que Mizuki devra se trouver une partenaire. Mais ce n’est en aucun cas ce qu’il va se passer. Notre héroïne se retrouve avec d’autres garçons à venir garnir les rangs des lycéennes de St Blossom. Apparemment, il y aurait un sous-effectif féminin. C’est peut-être alors la grande opportunité pour Mizuki de se rapprocher encore un peu plus de Sano. Mais, comme toujours, rien ne se passera comme prévu.

Avant de s’attaquer à l’intrigue principale de ce présent opus, Hisaya Nakajo nous présente une petite anecdote. De manière générale, le petit chapitre ne présentera pas de grand intérêt tant l’auteur a déjà fait beaucoup mieux. En outre, l’élément fantastique sonnera quelque peu faux dans le présent contexte de Parmi eux. Mais, heureusement pour nous, on passera rapidement à autre chose et à ce qui nous préoccupe principalement. D’entrée de jeu, le récit concernant la rencontre entre les garçons d’Osaka et les filles de St Blossom se montrera des plus réussis. On retrouve tout ce qui fait le succès de Parmi eux. L’humour sera au rendez-vous, les nouveaux protagonistes seront dès le départ des plus attachants et loufoques, l’amour prendra une grande part dans l’histoire et la rivalité fera sa grande apparition. On n’a donc pas vraiment le temps de s’ennuyer. Personne ne sera mis à l’écart et le tout donnera un résultat des plus explosifs et jouissifs. Du lourd en somme. Et cerise sur le gâteau, on pourra enfin rencontrer les parents du Docteur Uméda, de Io Nanba et de Rio. Moments de fou rire assurés.

En somme, malgré la première péripétie sans intérêt, Hisaya Nakajo nous offre encore une fois une trame attrayante et véritablement originale, tout en utilisant les codes classiques du shojo. Tout n’est pas toujours des plus réalistes.  Mais qu’importe, c’est le résultat et le plaisir qui comptent par-dessus tout !