Parallel Vol.4 - Actualité manga

Parallel Vol.4 : Critiques

Parallel

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 16 Septembre 2014

Entre la fête de l'école, Momoko qui est toujours là pour semer la zizanie, ou une prof un peu trop sérieuse et encombrante, la vie de Nekota et Sakura continue d'être animée par un entourage un brin farfelu et amenant toujours le quota d'humour et de fan service. Vite passée en revue, la fête de l'école ne rime pas à grand-chose et est surtout l'occasion d'observer Sakura ou Aïhara dans des tenues particulières, mais le tout continue d'intriguer autour des sentiments de nos deux héros. Momoko, de son côté, reste toujours aussi exubérante en revenant avec un chien puis en tentant de pousser nos deux héros dans les bras l'un de l'autre. Si elle apporte bon nombre de situations farfelues en se montrant toujours aussi décalée et rentre-dedans, la grande soeur de Sakura fait néanmoins preuve d'une certaine bienveillance, y compris quand elle doit réparer ses propres erreurs en aidant les deux adolescents à se débarrasser de leur prof.


Ça ne vole pas haut, mais le mélange d'humour, de sentiments et de fan service a toujours de quoi plaire, jusqu'à une conclusion... que l'on qualifiera de soudaine. Au vu de la façon dont elle arrive et du mot de Toshihiko Kobayashi à la fin, on sent bien qu'on a demandé à l'auteur de finir sa série un peu plus vite que prévu, et cela se ressent... Néanmoins, le mangaka parvient à sauver les meubles honnêtement, en apportant une réelle conclusion sur les sentiments de ses deux principaux personnages. Ce n'est malheureusement pas le cas pour les autres personnages qui sont soit revus vite fait et un peu laissés en plan (Aïhara, Kitamura...) soit complètement zappés (Tôko) ni pour certains événements futurs évoqués précédemment (les examens d'entrée au lycée, par exemple).


En somme, Parallel reste une lecture sans la moindre prétention et plutôt agréable pour qui aime le genre. On sent que l'auteur a eu à coeur de bien faire pour divertir, même si les choses restent globalement superficielles et expédiées sur la fin.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
12 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs