Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 21 Janvier 2008
Que vois-je ? Personne n’a encore écrit d’article sur "Paradise Kiss" ? Je vais donc me faire le plaisir de vous parler de cet excellentissime manga, dans la lignée fabuleuse des "Nana", de Aï Yazawa.
Hier, alors que je flanais dans mon magasin de mangas préféré, je lève les yeux vers les nouveautés, et, que vois-je ? Un manga un peu plus grand que la moyenne, une jolie couverture métalisée ornée d’une jolie fille. Mon attention est attirée par le titre : "Paradise Kiss"... Ah ! Mais c’est une production made in Aï Yazawa ! Ni une, ni deux, je le prends, le paie, et sors, toute heureuse, trépignant d’impatience à l’idée de pouvoir tranquillement savourer une nouvelle aventure de ma mangaka favorite.
En première page, un joli calque représentant une somptueuse robe ne peut que mettre l’eau à la bouche ! Mais alors, de quoi traîte ce livre ? Et bien, dans le rôle principal, nous avons une jeune fille grande, mince, brune et mignone, prénomée Yukari Hayasaka. Elle étudie dans le lycée Seiei et semble, au premier abord, préoccupée par ses études. Se promenant dans la rue, elle se fait interpeler (dans un premier temps), puis suivre (ensuite !) par un espèce d’urluberlu coiffée à la punkette avec des épingles à nourrice sur le visage. Peu après, elle rencontre les amis de ce garçon, qui étudient avec le garçon en question le stylisme dans une école d’art. Il y a Isabella (grande et élégante fille... ou garçon ?), Arashi (l’espèce de punk qui lui courait après), Miwako (la petite poupée que l’on a envie de serrer dans ses bras) et le beau Georges (à prononcer à l’anglaise). Vous devinez que cette rencontre va très vite chambouler Yukari ainsi que ses études !
En ce qui concerne mes impressions, elles sont excellentes ! Tout simplement parce que, comme dans "Nana", j’ai vécu ma lecture comme une véritable expérience émotionnelle. C’est du grand art ! Les dessins sont magnifiques, les personnages charismatiques, et on arrive à éclater de rire n’importe où en lisant certains passages (ce qui m’a valu, entre autre, quelques moments de grande solitude, lorsque les gens me dévisagent pour savoir pourquoi, oh grand malheur, je ris comme une baleine toute seule avec mon pauvre manga...).
Un seul conseil, lisez-le, vous ne le regretterez pas, et peut être même que vous en serez très heureux (c’est sûr, en fait) !
Hier, alors que je flanais dans mon magasin de mangas préféré, je lève les yeux vers les nouveautés, et, que vois-je ? Un manga un peu plus grand que la moyenne, une jolie couverture métalisée ornée d’une jolie fille. Mon attention est attirée par le titre : "Paradise Kiss"... Ah ! Mais c’est une production made in Aï Yazawa ! Ni une, ni deux, je le prends, le paie, et sors, toute heureuse, trépignant d’impatience à l’idée de pouvoir tranquillement savourer une nouvelle aventure de ma mangaka favorite.
En première page, un joli calque représentant une somptueuse robe ne peut que mettre l’eau à la bouche ! Mais alors, de quoi traîte ce livre ? Et bien, dans le rôle principal, nous avons une jeune fille grande, mince, brune et mignone, prénomée Yukari Hayasaka. Elle étudie dans le lycée Seiei et semble, au premier abord, préoccupée par ses études. Se promenant dans la rue, elle se fait interpeler (dans un premier temps), puis suivre (ensuite !) par un espèce d’urluberlu coiffée à la punkette avec des épingles à nourrice sur le visage. Peu après, elle rencontre les amis de ce garçon, qui étudient avec le garçon en question le stylisme dans une école d’art. Il y a Isabella (grande et élégante fille... ou garçon ?), Arashi (l’espèce de punk qui lui courait après), Miwako (la petite poupée que l’on a envie de serrer dans ses bras) et le beau Georges (à prononcer à l’anglaise). Vous devinez que cette rencontre va très vite chambouler Yukari ainsi que ses études !
En ce qui concerne mes impressions, elles sont excellentes ! Tout simplement parce que, comme dans "Nana", j’ai vécu ma lecture comme une véritable expérience émotionnelle. C’est du grand art ! Les dessins sont magnifiques, les personnages charismatiques, et on arrive à éclater de rire n’importe où en lisant certains passages (ce qui m’a valu, entre autre, quelques moments de grande solitude, lorsque les gens me dévisagent pour savoir pourquoi, oh grand malheur, je ris comme une baleine toute seule avec mon pauvre manga...).
Un seul conseil, lisez-le, vous ne le regretterez pas, et peut être même que vous en serez très heureux (c’est sûr, en fait) !