Pan' Pan Panda - Une vie en douceur Vol.2 - Actualité manga

Pan' Pan Panda - Une vie en douceur Vol.2 : Critiques

Fuku yomo

Critique du volume manga

Publiée le Jeudi, 19 Juin 2014

Panettone, gros panda gardien à la résidence Kanda, poursuit son quotidien en veillant sur la fillette avec laquelle il habite, Praline, et sur les amies qu'elle s'est faite, comme la turbulente Paprika et douce Rose. Mais le problème, c'est que ces deux dernières ne s'entendent pas très bien, se chamaillent souvent, refusent parfois de jouer ensemble... au risque d'attrister Praline. Est-ce que les deux fillettes pourront réussir à s'entendre, sous l'impulsion du bienveillant panda, en observant la détresse de leur amie commune, et en apprenant à faire des concessions et à mieux se connaître ?

La réponse est dans ce deuxième tome, qui s'offre quelques chapitres axés sur cette entente difficile entre Rose et Rika. Le résultat est très rapide, mais attachant.
De manière générale, une certaine rapidité dans les petits rebondissements est le principal reproche que l'on peut faire, Sato Honokura devant contenir ses petites histoires régulièrement indépendantes dans des chapitres de même pas dix pages, à l'image de celui où Praline, malade, se demande si elle sera rétablie à temps pour aller voir les cerisiers en fleur.
Mais ce petit défaut passe largement au second plan face à une peinture d'un quotidien bienveillant et authentique qui a, une nouvelle fois, tout pour charmer les enfants, et les adultes au coeur d'enfant. Les festivités du nouvel an, la Saint-Valentin, le White Day, le hanami... sont autant d'événements propres à la culture japonaise que l'auteure utilise joliment en les faisant découvrir aux plus jeunes, de même que d'autres choses comme les bento, le karuta ou le shishitô.

Au final, la lecture reste adorable, portée par son ambiance du quotidien, par ses petites découvertes, par ses jeunes personnages plein de fraîcheur, et bien sûr par ce gros panda bienveillant et aussi doux qu'une peluche.
  

Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
14 20
Note de la rédaction