Obaka-chan Vol.5 - Actualité manga

Obaka-chan Vol.5 : Critiques

Obaka-chan - Koigatariki

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 18 Juillet 2012

Neiro s'est persuadée que Tokio l'évite, et Kenichi est bien décidé à profiter de la crédulité et du manque d'expérience en amour de notre cruche d'héroïne pour l'éloigner de son bien-aimé ! Mais Neiro a plus d'un tour dans son sac, et le tout finit par des étincelles.

Mais par la suite, c'est une épreuve autrement plus délicate qui attend le jeune couple : Kaya, auto-proclamée petite amie de Tokio, débarque et kidnappe le jeune homme pour... se marier avec lui ?!

L'heure est donc venue d'enfin faire la connaissance de la fortunée Kaya, déjà évoquée précédemment dans la série, et l'on constate que cette nouvelle tête s'intègre à merveille dans l'aspect décalé et idiot du récit. Effectivement, on a vite fait de découvrir une fille de bonne famille aussi ravagée que les autres personnages, ne serait-ce qu'à travers la façon dont elle s'est persuadée toute seule que Tokio était son petit ami.
Dans la suite du volume, Zakuri Sato donne volontiers, plus que jamais, dans les rebondissements aussi improbables que crétins : mariage à l'arrache, hippopotame de compagnie... la mangaka se fait plaisir dans le n'importe quoi, et le fait de manière communicative, si bien que le n'importe quoi généralisé est ici particulièrement amusant, et a en plus le mérite, entre deux passages idiots, de revenir sur les origines de la rivalité entre Shin et Tokio. Pourquoi le bau brun souhaitait-il tant se venger du blondinet , la réponse est ici ! Cela dit, à force d'enchaîner les gags et situations improbables, l'auteure présente cela un peu à la va-vite.

L'histoire part donc joyeusement en vrille avec l'apparition de Kaya, et une nouvelle fois, la lecture est amusante, pour peu que l'on aime l'humour ravagé et que l'on pardonne à la mangaka ses grosses facilités narratives : ici, elle amène tout un peu n'importe comment, mais l'essentiel reste assuré : on se marre.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
15 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs