Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 27 Juillet 2009
Obscure manga publié par Glénat pendant les prémices de l’invasion nippone, cette série prévue en 7 tomes et racontée par l’un des auteurs de la série princess princess nous emmène à Okinawa en été pendant les vacances scolaires.
Lors d’une excursion, Kaho s’échappe du groupe et se lie avec un jeune voyou du nom de Yuki. Ce jeune homme daltonien et taiseux va aider Kaho a retrouver Natsu, un ami d’enfance qui a déménagé sur l’ile d’Okinawa.
Un style très propre et claire mais qui rend peu d’émotions, de grands paysages qui rappellent les palmiers de Floride et les jours baignés de soleil.
La narration est assez difficile à suivre par le manque de dialogue et des flashbacks mal annoncés si bien qu’on se demande pendant la moitié du premier volume où mène cette histoire. Les personnages ne rompent le silence que pour des banalités ou par la violence et il faut attendre de précieux moments d’introspection de Kaho pour percevoir un but au bout du chemin.
En s’accrochant péniblement aux quelques indices qui parsème cette longue et lente road-story, on a le sentiment d’un scénario un peu creux mais bourré de clichés des romans de Philippe Djian. On s’en amuse où on s’en échappe assez rapidement.
Lors d’une excursion, Kaho s’échappe du groupe et se lie avec un jeune voyou du nom de Yuki. Ce jeune homme daltonien et taiseux va aider Kaho a retrouver Natsu, un ami d’enfance qui a déménagé sur l’ile d’Okinawa.
Un style très propre et claire mais qui rend peu d’émotions, de grands paysages qui rappellent les palmiers de Floride et les jours baignés de soleil.
La narration est assez difficile à suivre par le manque de dialogue et des flashbacks mal annoncés si bien qu’on se demande pendant la moitié du premier volume où mène cette histoire. Les personnages ne rompent le silence que pour des banalités ou par la violence et il faut attendre de précieux moments d’introspection de Kaho pour percevoir un but au bout du chemin.
En s’accrochant péniblement aux quelques indices qui parsème cette longue et lente road-story, on a le sentiment d’un scénario un peu creux mais bourré de clichés des romans de Philippe Djian. On s’en amuse où on s’en échappe assez rapidement.