Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 15 Avril 2021
« Si seulement je pouvais redevenir lycéen... l'espace d'un instant... »
Si Miko n'en croit pas sa chance de voir son amour réciproque, l'attente jusqu'à l'obtention de son diplôme pour enfin concrétiser leur relation va être longue ! En revanche, Matsunaga et elle parlent librement de leurs sentiments et Miko s'exprime de plus en plus naturellement, osant même lui dire si besoin « franchement, je t'en ai voulu ». Au début du tome, une rapide incursion dans les pensées de Matsunaga nous permet de reconstruire le puzzle de l'évolution de son attachement envers notre héroïne.
Le quotidien reprend sa place dans la maison de colocation, mais ce calme est de courte durée. En effet, Matsunaga fait une annonce choc, qui, en plus de leur décision de sortir ensemble une fois que Miko sera diplômée, finit de bouleverser la relation de nos amoureux.
En bref, un tome placé sous le signe du changement, un nouvel air souffle sur l'histoire. Cette bouffée de nouveautés nous rappelle que Keiko Iwashita ne reste pas sur ses acquis et sait se renouveler pour apporter de la fraîcheur à son intrigue. Cette évolution agit à différents niveaux : professionnel, amoureux, social également. De plus, le point final est mis pour l'épisode avec Mlle Kobayashi, le restaurant d'Akane et Sanjay ouvre enfin ses portes, l'annonce de la nouvelle colocataire est faite... Un volume qui marque une transition.
« Tu veux qu'on essaie, nous aussi ? »
La mangaka continue dans sa lancée et approfondit encore ses personnages secondaires. Que ce soit avec Hôjô qui peine à renoncer à son amour pour Miko et qu'on voit partagé entre les conseils qu'il a reçu et sa tendance à s'effacer, ou encore avec Ken et Asako qui se cherchent. C'est aussi l'occasion pour Keiko Iwashita de nous présenter un avant-goût du futur rôle de Miko dans la colocation. En effet, elle va laisser de côté son statut de dernière arrivée pour prendre sous son aile la jeune fille qui les rejoindra au prochain tome. Cela ne manquera pas d'illustrer l'évolution de cette héroïne à laquelle on s'est attaché.
Si Miko n'en croit pas sa chance de voir son amour réciproque, l'attente jusqu'à l'obtention de son diplôme pour enfin concrétiser leur relation va être longue ! En revanche, Matsunaga et elle parlent librement de leurs sentiments et Miko s'exprime de plus en plus naturellement, osant même lui dire si besoin « franchement, je t'en ai voulu ». Au début du tome, une rapide incursion dans les pensées de Matsunaga nous permet de reconstruire le puzzle de l'évolution de son attachement envers notre héroïne.
Le quotidien reprend sa place dans la maison de colocation, mais ce calme est de courte durée. En effet, Matsunaga fait une annonce choc, qui, en plus de leur décision de sortir ensemble une fois que Miko sera diplômée, finit de bouleverser la relation de nos amoureux.
En bref, un tome placé sous le signe du changement, un nouvel air souffle sur l'histoire. Cette bouffée de nouveautés nous rappelle que Keiko Iwashita ne reste pas sur ses acquis et sait se renouveler pour apporter de la fraîcheur à son intrigue. Cette évolution agit à différents niveaux : professionnel, amoureux, social également. De plus, le point final est mis pour l'épisode avec Mlle Kobayashi, le restaurant d'Akane et Sanjay ouvre enfin ses portes, l'annonce de la nouvelle colocataire est faite... Un volume qui marque une transition.
« Tu veux qu'on essaie, nous aussi ? »
La mangaka continue dans sa lancée et approfondit encore ses personnages secondaires. Que ce soit avec Hôjô qui peine à renoncer à son amour pour Miko et qu'on voit partagé entre les conseils qu'il a reçu et sa tendance à s'effacer, ou encore avec Ken et Asako qui se cherchent. C'est aussi l'occasion pour Keiko Iwashita de nous présenter un avant-goût du futur rôle de Miko dans la colocation. En effet, elle va laisser de côté son statut de dernière arrivée pour prendre sous son aile la jeune fille qui les rejoindra au prochain tome. Cela ne manquera pas d'illustrer l'évolution de cette héroïne à laquelle on s'est attaché.